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Des drones-abeilles cartographient le Salon du Bourget

La société Sensefly, rachetée en 2012 par le français Parrot, a été autorisée à survoler le site du Bourget avec ses mini-drones Ebee. Le site a ainsi pu être cartographié en 2D et 3D, en fusionnant 577 photographies prises par deux appareils de 16 mégapixels. Revivez en vidéo l’envol des drones de Sensefly avant le démarrage du salon parisien.
Le Neuron, le Boeing 747 ou le Sukhoi 35 vus du ciel. Le Ebee, nouveau drone professionnel de Parrot depuis le rachat de la société Sensefly, offre un point de vue original du Salon du Bourget pour sa cinquantième édition :
Depuis quelques mois, et l’obtention d’une autorisation spéciale de la Direction générale de l’aviation civile (scénario dit « S2 plus »), les drones Ebee sont autorisés à opérer en France. « Ils peuvent servir aux géomètres, aux agriculteurs ou aux exploitants de carrière pour faire du calcul volumétrique. Nous avons aussi travaillé avec des ONG qui voulaient étudier le repeuplement suite à un séisme », a détaillé Alexis Roze, responsable ventes Sensfly, sur le stand de Parrot.

La simulation visuelle réaliste se marie avec la réalité virtuelle

Optis réussit avec son logiciel HIM, le mariage entre la simulation optique et les outils de réalité virtuelle pour proposer aux concepteurs des outils d’aide à la décision tenant compte à la fois de l'interaction humaine, de la vision humaine et de l'interaction de la lumière avec un projet, le tout dans un environnement réaliste complet.
L’éditeur français Optis, spécialiste des solutions logicielles de simulation optique, lumineuse et de la vision humaine, basées sur la physique, lance HIM (Human Integrated Manufacturing), un logiciel qui permet de faire des études ergonomiques basées sur la réalité virtuelle. Il permet aux opérateurs d’entrer et d’interagir avec un modèle numérique 3D réaliste à grande échelle, grâce au port de lunettes spéciales, d’un casque de réalité virtuelle ou via un avatar artificiel aux dimensions humaines.
HIM est basé sur la plate-forme de réalité virtuelle RHEA, qui a été mise au point par EADS Innovation Works, pour l'analyse ergonomique de futurs produits en proposant une expérience humaine réaliste.

La reconquête de la Lune

348 ans après son naufrage au large de Toulon, la Lune, vaisseau amiral du Roi Soleil a été exploré par les archéologues de la DRASSM. L'opération, qui a permis de tester le pilotage de robots sous-marins avec l'aide de la 3D et de la réalité virtuelle développées par Dassault Systèmes, vient de faire l'objet d'un documentaire diffusé sur Arte.
06 novembre 1664, la Lune, vaisseau amiral de Louis XIV, mais véritable baille faisant eau de toute part, coule au large de Toulon avec près d’un millier d’hommes à bord, simples matelots ou nobles de très haute lignée. Le pouvoir, souhaitant étouffer l’échec de l’expédition de Djidjelli à laquelle elle avait participé sur les côtes barbaresques (Afrique du Nord), était l’affaire qui est rapidement oubliée …
… 1993, lors d’une plongée d’essai, le sous-marin Nautile de l’Ifremer découvre par hasard l’épave qui git par 90 mètres de fond. Trop profond alors pour mener une opération d’archéologie sous-marine …

Visualisation 3D interactive sur grands écrans tactiles

Dexip et TFTLabs, deux sociétés françaises, créent la surprise lors d’un colloque d’ingénierie aux Etats-Unis en présentant en première mondiale une technologie de visualisation interactive de très gros modèles 3D sur grands écrans tactiles.
Suite à l’accord signé en janvier dernier avec la société lyonnaise TFTLabs, l’intégrateur et prestataire de services Dexip, filiale du groupe GDFSuez, va présenter aujourd’hui en première mondiale à Las Vegas, lors de la conférence Hexagon's Global Network de l’éditeur Intergraph, la possibilité de visualiser de très gros modèles d’ingénierie 3D de manière interactive sur des écrans tactiles Pixel Sense 40’’ de Microsoft.
Grâce à l’association des technologies de gestion de bases de données de Dexip et de gestion et d’affichage 3D de TFTLabs, il devient possible d’afficher sur un écran tactile les principaux formats 3D utilisés dans le monde de l’ingénierie, simultanément et en mode synchronisé avec des données cartographiques, documentaires ou des plans 2D (P&ID, schématique électrique…).

Un plexiglas de choc pour la limousine de l’Ecume des Jours

Pour réaliser la limousine transparente du film, PSA a employé un plexiglas de haute technicité, dont la structure est organisée au nanomètre près.
Michel Gondry n’a pas ménagé son inventivité pour adapter le fantasque roman de Boris Vian, l’Ecume des Jours. Ses colaborateurs, eux, ont déniché les solutions techniques pour porter ses idées à l’écran. Pour habiller la limousine transparente de Chloé et Colin – en fait une Peugeot 404 remaniée -, l’équipe design de PSA Peugeot Citroën a ainsi fait appel à des plaques transparentes made in France.
Baptisé Atuglas ShieldUp, le matériau de haute technicité sort de l’usine Altuglas de St Avold (57), une filiale d’Arkema. C’est un verre acrylique qui mélange deux composants : du PMMA (polyméthacrylate de méthyle), chaîne moléculaire à la base du plexiglas, et un élastomère,

Formule 1 : Renault lève le voile sur les nouvelles motorisations pour 2014

2014 sera une année clé pour la F1 en termes de motorisation. Afin de coller aux préoccupations de l’industrie automobile, les moteurs thermiques devront être plus petits, consommé moins et il faudra récupérer non seulement l’énergie de freinage mais aussi celle des gaz d’échappement. Renault Sport F1 nous a reçus pour nous montrer l’état de ses développements en cours.
Pour la saison de course 2014, Renault Sport F1 ne fournira plus des moteurs aux écuries de F1 qu’elle motorise mais des ‘‘Power Unit’’, afin de suivre l’évolution de la réglementation de ce sport mécanique. Et c’est bien une véritable révolution qui se cache derrière l’anglicisation du terme, car si l’architecture et la cylindrée du moteur vont changer, deux systèmes de récupération d’énergie vont venir se greffer directement sur lui.
A compter de 2014, fini donc les moteurs V8 atmosphériques de 2,4 litres de cylindrée tournant à 18 000 tr/min et développant 750 CV, qui ont propulsé le plateau de 2006 à 2013. Voulant être en phase avec ce qui se passe actuellement dans l’industrie automobile la Fédération internationale de l’automobile (FIA) a décidé de réduire la cylindrée à 1,6 litre, un phénomène de Downsizing que l’on voit sur les moteurs de nos voitures de tous les jours, et d’adopter une architecture V6 avec une vitesse maximale limitée à 15 000 tr/min. En revanche, le turbo compresseur de suralimentation fait son retour. Cela devrait permettre d’atteindre une puissance de l’ordre de 550 CV. Parallèlement, dans un souci de forcer les constructeurs à améliorer le rendement de leurs moteurs la quantité d’essence disponible pour un Grand Prix sera limitée à 140 litres avec un débit instantané maximum de 140 l/h.

Vendée Globe : la victoire des ingénieurs

François Gabart établit un nouveau record du tour du monde en terminant le Vendée Globe en 78 jours, 2 heures, 16 minutes et 40 secondes. Et Armel Le Cléac’h termine 2e en arrivant 3 heures, 17 minutes plus tard. Deux ingénieurs Insa sur deux bateaux fruits des travaux de nombreux ingénieurs.
Les deux premiers arrivés du Vendée Globe étaient barrés par des marins d’exception, capables d’affronter les pires conditions météorologiques et nautiques, mais aussi par des ingénieurs au fait de la technologie ayant participé à la conception de leurs bateaux. François Gabart est en effet un ingénieur de l’Insa de Lyon option Génie Mécanique, tandis que Armel Le Cléac’h est ingénieur de l’Insa de Rennes, filière Excellence Sportive.
François Gabart nous avait confié en décembre 2010, lors de la présentation du voilier Foncia 2 à bord duquel il allait embarquer avec Michel Desjoyeaux pour la Barcelona World Race 2010-2011, que le fait d’être ingénieur lui permettait d’exprimer plus facilement et plus ‘‘techniquement’’ ses demandes auprès des ingénieurs chargés de la conception du bateau.
Il estimait aussi que sa formation lui permettait de mieux comprendre leurs réponses et leurs contraintes, ainsi que les outils informatiques avec lesquels ils travaillaient. En effet, il a été formé durant ses études à la CAO et au calcul par éléments finis sur les outils de Dassault Systèmes qui ont aussi été utilisés par Mer Forte, le bureau d’études créé par Michel Desjoyeaux, pour développer Foncia 2, devenu Banque Populaire, et plus récemment Macif.

Airbus investit dans le développement des thermoplastiques

Au Salon du Bourget, le programme de recherche Tapas a été renouvelé. Mené sous le patronage d’Airbus, ce consortium hollandais se fixe comme objectif de produire des pièces thermoplastiques de grande dimension.
Une section de fuselage en thermoplastique, présentant un raidisseur oméga en son centre, plane fièrement au-dessus du stand des acteurs de l’industrie aéronautique hollandaise, au Salon international de l'aéronautique et de l'espace. Il s’agit d’un des démonstrateurs produits dans le cadre de la première phase du programme Tapas, acronyme anglais de « structure primaire d’avion économique en thermoplastique ».
Le renouvellement du programme a été officialisé sur le Bourget. Il compte huit laboratoires et industriels, dont le chimiste Tencate, qui fournit les tissus thermoplastiques à la base de la fabrication des pièces. Pour les éléments de grande dimension, comme des sections d’ailes, de fuselage ou des pièces de support moteur, c’est le tissu Cetex, constitué d’une matrice de polysulfure de phénylène (PPS) renforcée de fibres de carbone, qui est privilégié.

Bayer stoppe la fabrication de nanotubes de carbone

A cause d’un marché devenu trop fragmenté et trop éloigné de son cœur de métier, Bayer a annoncé la semaine dernière l’abandon de son activité dans les nanotubes de carbone. Le chimiste allemand cherche néanmoins à transférer le savoir-faire acquis à l’un de ses partenaires.
Les Baytubes, c’est fini. Bayer décide de fermer son unité de production de nanotubes de carbone, a fait savoir l'industriel le 9 mai dernier. L’allemand avait démarré la fabrication de ces nanomatériaux particuliers en 2007, avant de tripler leur production en 2010, pour répondre à un accroissement de la demande, certaines prévisions annonçant une augmentation annuelle de 25 % et un marché de deux milliards d’euros à l’horizon 2020.
Bayer avait pourtant investi plusieurs millions d’euros dans la construction de son unité pilote, et l’industrialisation des procédés de fabrication. Le chimiste justifie cette décision par un marché devenu trop fragmenté, et plus assez en adéquation avec les autres produits commerciaux de Bayer MaterialScience.

REACH : frein ou moteur pour l’innovation?

Quels sont les effets de la mise en œuvre du règlement REACH sur l’innovation ? Dans son rapport d’évaluation sur la mise en place du règlement REACH, la Commission européenne apporte quelques éléments de réponse. Destiné à « assurer un niveau élevé de protection de la santé humaine et de l'environnement (…) tout en améliorant la compétitivité et l'innovation », REACH représente toutefois une forte contrainte pour les entreprises et pourrait donc peser sur l’effort de R&D.
Pour mémoire, le règlement REACH fait peser deux types d’obligations sur les entreprises situées pour l’essentiel dans l’Union européenne. En premier lieu, si elles souhaitent poursuivre la fabrication, l’importation, la mise sur le marché ou la simple utilisation de leurs substances sur le sol européen, elles doivent, selon certains critères, se mettre en conformité avec les procédures d’enregistrement, d’évaluation, d’autorisation ou de restriction. En second lieu,  pour les entreprises, responsables de la mise sur le marché et qui endossent le statut juridique de fournisseur, une Fiche de Données de Sécurité (FDS) accompagnée de divers documents tel le scénario d’exposition est élaboré. Elle intègre notamment des informations sur les risques sanitaires et environnementaux,  et d’autres relatives aux outils de gestion de ces risques.
Pour limiter l’impact de ces obligations sur l’effort d’innovation, les entreprises réalisant des activités de R&D sont exemptées de l’essentiel des obligations auxquelles sont soumises les autres sociétés.

Matério décloisonne l’innovation matière

Ce qui a été développé pour un secteur industriel précis peut servir à d'autres. Ce principe, la plate-forme Matério, basée au Lieu du Design, à Paris, l'a bien en tête. Elle met à la disposition de ses adhérents un catalogue de près de 7 000 références de matières innovantes, recensées parmi environ 4 500 industriels. Cette base de données est complétée par une échantillothèque où les designers et chargés d’innovation peuvent venir voir et manipuler les produits.
Obtenir l’échantillon d’un matériau innovant n’est pas une sinécure. Quentin Hirsinger, qui préside Matério depuis sa création en 2000, en témoigne : « notre record personnel est de huit ans », ironise le responsable en montrant le produit en question, une sorte de rouleau de scotch qui prend spontanément la forme d’un tube lorsqu’il est déroulé. A ses débuts, cette innovation du britannique Rolatube était utilisée par l’armée pour construire des antennes de télécommunications improvisées.

Des copolymères amphiphiles pour contrôler la taille des nanovecteurs

Une nouvelle méthode pour concevoir des polymères qui permettent de contrôler parfaitement la taille des capsules, ou vecteurs, qui servent au transport de nanomédicaments a été proposée par des chercheurs de l’institut Charles Sadron dans la revue Physical Review Letters.
L'encapsulation des médicaments pour les protéger et les amener à leur cible est une voie explorée par de nombreuses équipes de scientifiques. Un des principaux problèmes réside dans le contrôle de la taille des capsules. Leur taille détermine leur capacité à transporter le médicament, mais aussi à naviguer parmi les obstacles microscopiques et à franchir les barrières biologiques de l’organisme.

Le projet d'Intel pour évaluer la concentration des automobilistes au volant

Le fabricant de processeurs Intel a présenté son projet de dispositif embarqué permettant de déterminer si un conducteur est bien concentré sur la route. Ce projet, s'il se concrétise, pourrait considérablement réduire le risque d'accidents de la route.
Alors que le manque de concentration au volant est l'une des causes principales des accidents de la route, Intel a peut-être la solution. Le fabricant américain de logiciels a présenté mardi 25 juin à San Francisco son projet : un dispositif permettant d'évaluer l'attention de l'automobiliste.
L'activité du cerveau est enregistrée grâce à des capteurs infrarouges placés sur le crâne du conducteur, explique une vidéo mise en ligne par le magazine spécialisé Network World. Pour évaluer le degré de concentration de l'automobiliste, le système est également composé de deux caméras qui peuvent indiquer si son regard est bien focalisé sur la route.

Airbus réplique au 787-10 avec une version bridée de l’A350

L’avionneur européen proposera aux compagnies qui le demanderont une version de son nouvel avion avec des moteurs qui ne fonctionneront pas à leur pleine puissance pour réaliser des vols régionaux de manière optimisée.
Du tac au tac. Pour répondre à l’annonce du 787-10 de Boeing, le directeur commercial d’Airbus John Leahy a précisé ce mercredi 19 juin qu’Airbus proposerait aux compagnies qui le souhaitent une version régionale de son A350. Il s’agit d’un A350-900 dont le design ne sera pas modifié mais affichant une masse au décollage moindre et des moteurs qui ne fonctionnent pas à leur puissance maximale. L’avionneur n’a pas souhaité préciser dans quelle mesure cette puissance serait réduite. Ainsi cette version d’A350 sera plus adaptée à des vols dits régionaux (moins de 8 heures de vol) alors que l’engin a été conçu pour des vols long-courriers.

Les monocouloirs remotorisés, rois de la 50e édition du Bourget

Le rouleau compresseur du duopole a encore tout écrasé sur son passage. Lors des journées professionnelles du salon international de l’aéronautique et de l’espace de Paris-Le Bourget, Airbus et Boeing ont engrangé à eux deux quelque 540 commandes fermes.
L’industrie aéronautique civile va bien. Très bien même. La moisson du Bourget a bénéficié, encore une fois, aux deux mastodontes du secteur que sont l’européen Airbus et l’américain Boeing.
A eux deux, ils enregistrent 900 commandes (fermes, finalisations et options d’achat) en quatre jours, soit plus que lors de l’édition 2011 du salon. Airbus repart à Toulouse avec 466 commandes et options d’achat pour 68,7 milliards de dollars (241 commandes fermes, soit 39,3 milliards de dollars), un peu devant son rival Boeing, qui quitte Paris avec 442 commandes et options d’achat pour un montant global de 60,2 milliards de dollars (dont 302 commandes fermes représentant 38 milliards).
A350/787-10 : LES GROS PORTEURS FONT LE BUZZ
Le succès d’Airbus et Boeing est double : les deux géants continuent de susciter une demande des compagnies aériennes en gros et très gros porteurs comme l’A350 XWB, le 787 ou l’A380, et, dans le même temps, gardent la mainmise sur le segment en constante explosion des monocouloirs comme le 737 MAX ou l’A320neo.

Le premier vol du CSeries de Bombardier, prévu fin juin, est encore reporté

L'avionneur canadien Bombardier Aéronautique a annoncé le 26 juin être contraint de décaler d'un mois le vol inaugural de son nouveau jet régional, le CSeries. Il est désormais prévu pour fin juillet.
Encore un report dans le nouveau programme phare CSeries de Bombardier Aéronautique. Dans un communiqué publié le 26 juin, l'avionneur annonce être sur le point de terminer les essais de vibrations au sol de l'avion et les mises à niveau logicielles finales, en préparation du vol inaugural désormais planifié d'ici la fin du mois de juillet.
Bombardier a également fait état de l'obtention de tous les fournisseurs des déclarations de sécurité aérienne (SOF), et a confié avoir fait une demande d’autorisation de vol d’essai présentée à Transports Canada.

Le Leap X : Nouvelle Star

Fruit de l'alliance entre le français Snecma détenu par Safran, et l'américain General Electric, le Leap X a la lourde tâche de succéder à la famille CFM 56. Celle-ci a rencontré un immense succès auprès des avionneurs en ayant équipé des Best-sellers tels que l'A320 ou le B737. Le Leap X semble cependant bien parti pour égaler son illustre ancêtre : il a déjà été choisi pour motoriser le programme A320 NEO et par le futur avion chinois Comac 919 dont le succès est assuré par l'activisme gouvernemental chinois. CFM Internatioanl a ainsi décrocher au salon du Bourget un total de 7 milliards d'euros de commandes pour la fourniture de nouveaux moteurs dont 468 LEAP X.
Source: http://www.usinenouvelle.com/

Le TP 400 : un moteur et des ratés

Le TP 400 du consortium Europrop International a été conçu pour motoriser l'A-400M, le nouvel appareil de transport militaire d'Airbus. Sa fabrication s'est cependant heurtée à de nombreux problèmes techniques inhérents à sa complexité à l'image de l'arrêt d'une de ses quatre turbines lors d'un vol d'essai. Europrop International a pour le moment enregistré 700 commandes pour son TP 400. Mais sa production reste étroitement liée au succès commercial de l'A-400M, commandé pour le moment à 173 unités par différents gouvernements européens. Peu de contrats à l'export se profilent pour l'instant.
Source: http://www.usinenouvelle.com/

Le M88-4E : l'arme du Rafale

Le M88 est le réacteur équipant les Rafale de Dassault. Décliné en différentes versions, il figure comme l'un des atouts techniques du programme Rafale. Censé équiper les 294 exemplaires commandés par l'armée française, la production pourrait rapidement augmenter grâce aux contrats à l'export. Le Rafale est en effet en lice dans de nombreux pays dont l'Inde où Dassault est en phase de négociation exclusive pour une commande de 126 appareils et 63 options.
Source: http://www.usinenouvelle.com/

Le GE-38 : le jeune premier

Le GE-38 de General Electric a été choisi pour équiper le nouvel hélicoptère lourd militaire américain de transport CH-53 K de Sikorsky. Outre ce premier succès, GE espère que son moteur sera également sélectionné pour le programme "Ship to Shore Connector", un bateau de transport sur coussin d'air disposant de quatre turbines à gaz et censé être mis en service prochainement. Le GE-38 semble d'ores et déja promis à une belle carrière.
Source: http://www.usinenouvelle.com/