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Stratasys rachète le fabricant d’imprimantes 3D économiques Makerbot

Stratasys rachète le fabricant d’imprimantes 3D économiques Makerbot
Il y a encore un an, la Replicator de Makerbot était une imprimante 3D open source. Aujourd’hui, elle appartient au numéro un mondial de la fabrication additive. Stratasys a racheté Makerbot pour 400 millions de dollars.
En rachetant Makerbot, Stratasys sonne la fin d’une époque. Le numéro un mondial des systèmes de fabrication additive met la main sur le champion de la petite imprimante 3D économique. Créé en 2009, Makerbot avait lancé la Replicator en kit et en mode open source. Les plans de l’imprimante étaient gratuits et modifiables, et la communauté pouvait proposer des améliorations. La Replicator première du nom est rapidement devenue l’imprimante 3D des Fab Labs.
L’arrivée de la Replicator 2, vendue par un réseau commercial et à la propriété intellectuelle protégée, avait déjà fait grincer les dents des premiers utilisateurs. Ce revirement survenait après l’arrivée de prestigieux investisseurs au sein de la société créée par un ancien hacker.

Le robot qui compte sauver l’emploi

Les robots vont remplacer les humains dans les usines. Ce poncif a la dent dure. L’arrivée de Baxter, le robot qui apprend de la société Rethink Robotics, tend à prouver le contraire.
Les robots vont-ils tuer ou créer de l’emploi ? C’est l’éternel débat entre les économistes, les industriels et les sociologues. En aidant l’industrie à produire plus efficacement, vont-ils créer de nouveaux emplois mieux rémunérés ou simplement mettre des travailleurs à la rue ?
"Nous avons atteint un point de basculement en robotique", a déclaré Daniela Rus, directeur du laboratoire d’informatique et d'Intelligence artificielle du MIT. "Vous pouvez maintenant faire tourner une usine pendant que vous dormez" a-t-elle ajouté.
De nombreuses entreprises voient dans l’automatisation la clé pour réduire les coûts et rester compétitifs. Selon Dan Kara, analyste de l’industrie, les ventes de robots industriels ont augmenté de 38 % entre 2010 et 2012 et vont battre des records cette année,
UN ROBOT DE FABRICATION COLLABORATIF
C’est lors de la conférence TED, qui s’est tenue la semaine dernière à Long Beach en Californie, que Rodney Brooks est venu présenter son robot Baxter et son rôle dans la société. Cet ancien directeur de laboratoire du MIT a créé la société Rethink Robotics et commerciale déjà son robot qu’il décrit comme un robot de fabrication collaboratif.

Empathie pour les robots, lessive antimoustique, gobelets 2.0

Les êtres humains font aussi preuve d'empathie pour les robots, montre une étude menée par des chercheurs allemands, dans laquelle des spectateurs voient des robots se faire maltraiter. Ceux-ci pourraient donc faire de très bons compagnons, au même titre que les chats et les chiens, avec peut-être cependant l'imprévisibilité en moins. Et à quand une association de protection des robots ?
Touche pas à mon robot !
Les robots ne nous laissent pas insensibles. Bien au contraire, une étude allemande (et pour une fois pas américaine !) décryptée par Futura-sciences montre que les êtres humains font preuve d’empathie pour les robots. Lors d’une première expérience, diverses scènes montraient un petit robot dinosaure se faire maltraiter ou cajoler. Pendant la projection, la conductance électrique de la peau des spectateurs était mesurée. Résultat : la conductance de la peau des spectateurs augmentait lors des scènes de violence, à cause de la sueur, qui altère les propriétés électriques de la peau. La deuxième expérience montrait que les volontaires étaient cependant plus sensibles au sort des êtres humains que des robots. Les robots n'ont pourtant pas de sensibilité propre, mais encore faut-il en être bien conscient. La même thématique est développée dans la série « Real Humans » diffusée sur Arte et qui met en scène des robots humanoïdes intégrés à la société pour réaliser les tâches les plus ingrates. Des êtres humains vont jusqu’à tomber amoureux des robots… Le cœur a ses raisons que la raison ne connait point...

Grover au Groënland, Robobees, prédiction du futur

Qu'il s'agisse de les modifier génétiquement ou tout bonnement de les reconstruire pièce par pièces, les insectes ont la côte chez les scientifiques. C'est que leur impact est d'importance, pas de pollinisation des plantes sans les abeilles, tellement moins d'épidémies sans les moustiques... Roboticiens comme généticiens s'emparent donc de la question. 
A partir du passé, prédire le futur des épidémies
La « psychohistoire » d’Isaac Asimov est-elle destinée à devenir un jour réalité ? Dans son Cycle de Fondation, l’auteur de science-fiction imagine une science reposant sur les mathématiques pour prédire le futur. Des chercheurs de Microsoft et de l’Institut Israëlien de Technologie Technion mettent au point un logiciel pour prédire les catastrophes futures grâce à une analyse du présent et des événements passés, détaille Numerama.com. Pour cela, ils ont « nourri » le logiciel de 22 années d’archives du New York Times et d’autres sources web. Le système toutes ces données entre elles. Rétrospectivement, le logiciel aurait ainsi pu prévenir le risque d’une épidémie de choléra en Angola en 2007. Celle-ci avait en effet été précédée d’une sécheresse en 2006, une corrélation que le système avait détecté suite à des cas similaires précédents. Rien d’extraordinaire donc, d’autres recherches vont dans ce sens, comme l’analyse de la progression de la grippe sur Twitter. Le logiciel est toutefois le premier à avaler autant d’archives et va plus loin que les précédents. Il pourrait d’abord servir aux associations humanitaires. On lui souhaite un bel avenir !

Rhex robot tout-terrain, tortue télécommandée, voiture volante, Google I/O

L'homme n'est pas en manque d'imagination quand il s'agit d'inventer des nouveaux modes d'exploration. Des robots comme RHex, un engin tout terrain capable de sauter et d'escalader aux moyens plus traditionnels comme la distribution de la carotte et du bâton à des animaux, tous les moyens sont bons!
Les extensions de domaines se régionalisent
A chaque région son extension sur le Net. En plus des habituels .org, .net ou .com, il sera possible de réserver un nom de domaine en .paris mais aussi en .bzh, explique 01net.com. L’autorisation de l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN) est devenue officielle vendredi dernier. Elle a mis fin  à une lutte de près de 10 ans de l’association www.bzh, s'appuyant sur une identité bretonne toujours très forte. Cette nouvelle fait suite à un vaste plan de libéralisation des noms de domaine génériques, décidée en juin 2011 par l’ICANN. Celle-ci devrait ensuite s'étendre aux noms de marques.
RHex le robot tout terrain
Il s’appelle RHex, et s’il ne mord pas encore, il peut sauter des trous de 60 centimètres ou escalader des obstacles de 73 centimètres, relate le site phys.org.

Les drones, un concentré de technologies à usages multiples

L'arrêté de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) du 11 avril 2012 pose les jalons pour une exploitation plus encadrée des drones, tout en ouvrant aussi le ciel français à de nouveaux scénarios d'usage dans l'industrie, l'agriculture, l'audiovisuel...
En parallèle de leurs utilisations militaires, les drones deviennent une plate-forme expérimentale pour de nouveaux services, capteurs et autres technologies embarquées. Les réglementations s'assouplissent pour permettre à ces engins sans pilote d'opérer, en vol à vue comme hors vue dans le cas de la France, grâce à l'arrêté spécifique de la DGAC. Dès aujourd'hui, les drones sont en test partout dans le monde pour une pléthore d'applications dans le civil, comme l'illustre notre infographie.
A un stade d'ingénierie plus avancé que le modélisme, les fabricants de drones font appel à un véritable concentré de technologies : propulsion hybride pour favoriser l'autonomie, matériaux composites et fabrication additive pour alléger les structures comme chez EADS, algorithmes et capteurs permettant l'évitement d'obstacles ou le vol en flotille.

Drone écureuil, cafard cyborg, Galaxy S4 torturé

L'imagination humaine n'a pas de limites. Elle conduit à inventer le moyen de dompter les blattes, faire "amurir" les drones ou soumettre les smartphones aux pires sévices. Entre imagination et fantasme, la limite est parfois ténue.  A l'instar de ces scientifiques qui souhaitent être cryogénisés une fois morts pour mieux ressusciter dans un avenir incertain... mais sûrement palpitant !
Un drone qui s’accroche aux murs
L’imagination des bricoleurs ne manque pas pour concevoir des drones aux caractéristiques toujours plus étonnantes comme un drone contrôlé par la pensée, ou encore un drone qui roule ET vole. Mais ils avaient du moins jusqu’ici la particularité de décoller du sol, verticalement. Le drone que des chercheurs de l’université de Stanford ont créé a la particularité de se poser sur les murs ! Grâce à un système de griffes, le drone peut s’agripper aux aspérités de la paroi, explique Futura-Sciences. Une fois, sur la paroi, il peut y rester, moteur coupé. Les chercheurs se sont inspirés des écureuils volants pour concevoir l’appareil, qui inaugure une nouvelle façon pour un objet volant humain de se poser : « l’amurissage ».

Loon : Google lance des ballons, robots biomimétiques, toilettes RFID

Utiles, communicantes, ludiques, sécurisantes, mais aussi invasives, inquiétantes, explosives... autant de qualificatifs qui pourraient s'appliquer aux nouveautés qui ont fait le buzz cette semaine. Peut-être faudra-t-il attendre la mise en application du système de mIcrosoft de transit de données par le corps humain pour que tout le monde ait les technologies ... dans la peau !
Pas évident de qualifier précisément nos sentiments face à la place de plus en plus grande que prennent l'électronique, la robotique ou encore l'informatique dans nos quotidiens. Une étude menée par l'agence Grenade & Sparks montre que 26 % des Français s'avouent dépassés par les nouvelles technologies. Parmi elles, 57 % ont plus de 50 ans, ce qui souligne la fracture entre les "digital natives" et les "digital immigrants"...une dichotomie bien illustrée par les actus technos qui ont fait le buzz cette semaine.
Loon : Google veut démocratiser Internet avec des ballons
Google vient de tester en Nouvelle-Zélande un ballon stratosphérique pour faciliter la connexion à Internet dans les zones reculées, annonce le site du Monde informatique. Un ballon de 15 mètres de diamètre permettrait de transmettre les informations à un débit équivalent à la 3G sur près de 40 km autour de lui.

Des drones-abeilles cartographient le Salon du Bourget

La société Sensefly, rachetée en 2012 par le français Parrot, a été autorisée à survoler le site du Bourget avec ses mini-drones Ebee. Le site a ainsi pu être cartographié en 2D et 3D, en fusionnant 577 photographies prises par deux appareils de 16 mégapixels. Revivez en vidéo l’envol des drones de Sensefly avant le démarrage du salon parisien.
Le Neuron, le Boeing 747 ou le Sukhoi 35 vus du ciel. Le Ebee, nouveau drone professionnel de Parrot depuis le rachat de la société Sensefly, offre un point de vue original du Salon du Bourget pour sa cinquantième édition :
Depuis quelques mois, et l’obtention d’une autorisation spéciale de la Direction générale de l’aviation civile (scénario dit « S2 plus »), les drones Ebee sont autorisés à opérer en France. « Ils peuvent servir aux géomètres, aux agriculteurs ou aux exploitants de carrière pour faire du calcul volumétrique. Nous avons aussi travaillé avec des ONG qui voulaient étudier le repeuplement suite à un séisme », a détaillé Alexis Roze, responsable ventes Sensfly, sur le stand de Parrot.