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Biocarburants de deuxième génération : les technos sont prêtes, mais qui veut les industrialiser ?

Les technologies pour produire les biocarburants de seconde génération arrivent à maturité. Faute de contexte règlementaire stable, l’Europe peine à les industrialiser, d'après l'Ifpen.
L’usine italienne  Beta Renewables s’apprête à produire 40 000 tonnes de bioéthanol par an à partir de canne de Provence... Une mauvaise herbe ! Avec ce volume, l’usine vise la rentabilité économique, rien de moins. Une grande première dans l’univers des biocarburants de seconde génération.
Pourtant, ce pionnier semble condamné à rester l’exception européenne qui confirme la règle : tous ses concurrents ont choisi de s’épanouir Outre-Atlantique. Car à l’heure où les biocarburants de deuxième génération passent enfin du rêve de laboratoire à la réalité industrielle, l’incertitude réglementaire freine les investisseurs du Vieux Continent. Telle est, en substance, l’analyse de l’Institut français du pétrole et des énergies nouvelles (Ifpen), qui faisait un point le mardi 11 juin sur les perspectives du marché des biocarburants.
Des procédés plus sélectifs
Résumé des épisodes précédents : les biocarburants de première génération, qui produisent bioéthanol et biodiesel à partir de plantes sucrières ou céréalières,

Le Leap X : Nouvelle Star

Fruit de l'alliance entre le français Snecma détenu par Safran, et l'américain General Electric, le Leap X a la lourde tâche de succéder à la famille CFM 56. Celle-ci a rencontré un immense succès auprès des avionneurs en ayant équipé des Best-sellers tels que l'A320 ou le B737. Le Leap X semble cependant bien parti pour égaler son illustre ancêtre : il a déjà été choisi pour motoriser le programme A320 NEO et par le futur avion chinois Comac 919 dont le succès est assuré par l'activisme gouvernemental chinois. CFM Internatioanl a ainsi décrocher au salon du Bourget un total de 7 milliards d'euros de commandes pour la fourniture de nouveaux moteurs dont 468 LEAP X.
Source: http://www.usinenouvelle.com/

Le GEnx : une succession assurée

Destiné à remplacer la  famille des CFM-6 ayant notamment équipés certains B747, MD-11 et DC-10, le GEnx de General Electric équipera principalement les moyens et gros porteurs de Boeing, les B747 et B787, et hypothétiquement les A350, chasse gardée du Trent 1500 de Rolls Royce. L'avenir de ce réacteur est quasi assuré par le succès des programmes qu'ils motorisent. A titre d'exemple, le loueur Gecas a annoncé une commande de 10 modèles 787-10 équipés du GEnx, lors du salon du Bourget.
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Le TP 400 : un moteur et des ratés

Le TP 400 du consortium Europrop International a été conçu pour motoriser l'A-400M, le nouvel appareil de transport militaire d'Airbus. Sa fabrication s'est cependant heurtée à de nombreux problèmes techniques inhérents à sa complexité à l'image de l'arrêt d'une de ses quatre turbines lors d'un vol d'essai. Europrop International a pour le moment enregistré 700 commandes pour son TP 400. Mais sa production reste étroitement liée au succès commercial de l'A-400M, commandé pour le moment à 173 unités par différents gouvernements européens. Peu de contrats à l'export se profilent pour l'instant.
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Le M88-4E : l'arme du Rafale

Le M88 est le réacteur équipant les Rafale de Dassault. Décliné en différentes versions, il figure comme l'un des atouts techniques du programme Rafale. Censé équiper les 294 exemplaires commandés par l'armée française, la production pourrait rapidement augmenter grâce aux contrats à l'export. Le Rafale est en effet en lice dans de nombreux pays dont l'Inde où Dassault est en phase de négociation exclusive pour une commande de 126 appareils et 63 options.
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Le GE-38 : le jeune premier

Le GE-38 de General Electric a été choisi pour équiper le nouvel hélicoptère lourd militaire américain de transport CH-53 K de Sikorsky. Outre ce premier succès, GE espère que son moteur sera également sélectionné pour le programme "Ship to Shore Connector", un bateau de transport sur coussin d'air disposant de quatre turbines à gaz et censé être mis en service prochainement. Le GE-38 semble d'ores et déja promis à une belle carrière.
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