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General Electric mise gros sur le big data
Le conglomérat américain vient d’annoncer le lancement de Predictivity, une plate-forme analytique pour le big data. Une étape majeure dans le virage de General Electric vers l’internet industriel.
General Electric lance sa propre plate-forme analytique pour le big data. Predictivity cible l’internet industriel, au cœur de la stratégie du conglomérat américain depuis un peu plus de deux ans. Pour GE, les machines industrielles, moteurs d’avions, éoliennes, turbines à vapeur, etc. seront de plus en plus truffées de capteurs envoyant leurs données en temps réel. Pouvoir réagir à ces données et prédire le comportement des machines à partir de leur historique recèle un potentiel gigantesque, tant pour l’amélioration et l’enrichissement des performances des machines, l’optimisation de leur production ou la création de nouveaux services à offrir par GE.
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Sur la route électrifiée
L’avenir des véhicules électriques ne passe pas forcément par des batteries à haute capacité. Des technologies pour recharger les bus, camions et voitures en roulant ou à l’arrêt se multiplient.
Et si la mobilité électrique se passait de batteries ? Imaginez voitures, bus, poids lourds et autres véhicules rouler 100 % électrique, sans polluer, en tirant leur énergie de la route qu’ils arpentent. Cerise sur le gâteau, l’infrastructure est invisible : des bobines métalliques courant sous le bitume alimentent les véhicules par induction, sans contact, en continu tout au long de leur trajet [lire page suivante]. Futuriste ? Un peu. Fantaisiste ? Pas du tout ! La mobilité électrique se heurte aux limites des batteries et de nombreux acteurs travaillent à s’en passer, au moins partiellement. Pour cela, pas de choix : la route aussi doit être électrifiée.
Une batterie suffit à la Bluecar d’Autolib’ pour circuler en ville. Mais pour parcourir de longues distances ou faire rouler des véhicules lourds, la densité énergétique de la meilleure chimie disponible, le lithium ion, est insuffisante. "Un bus de 12 mètres parcourant environ 300 kilomètres par jour en ville exigerait une batterie de plus de 3 tonnes. On voit de tels bus électriques venus de Chine : ils peuvent transporter 30 passagers en moins que les bus diesel", explique Jérémie Desjardins, le directeur de l’activité Primove, dédiée à l’alimentation par induction, chez Bombardier Transport. Avec davantage d’autonomie, il n’y aurait donc plus de place pour les passagers… La solution repose sur le "biberonnage" des bus : une recharge fréquente et rapide de la batterie aux terminus, voire aux stations. "On peut diviser par cinq la taille de la batterie", se félicite Jérémie Desjardins. Bombardier a développé Primove, un système de charge rapide (à 200 kW) par induction suffisamment tolérante en matière de positionnement du bus pour être effective. Le constructeur a signé des contrats à Bruges (Belgique), à Braunschweig et à Mannheim (Allemagne), qui devraient démarrer d’ici à la fin 2013.
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Connaissez-vous la smart industrie?
E-business, mobiles, réseaux, cloud, big data… Les technologies s’enchaînent et chamboulent tout. Pour survivre à la révolution numérique en cours, l’industrie n’a pas le choix. Elle sera "smart" ou ne sera plus.
Si les entreprises avaient cru, en voyant disparaître les directeurs e-business de leur organigramme, que la question de la révolution internet était réglée, elles avaient tort. Le changement se poursuit et le numérique bouscule tout. Pas seulement les relations clients-fournisseurs ou les processus internes. À tous les niveaux, les réseaux sociaux cassent les silos, renversent l’organisation hiérarchique verticale. Les outils numériques personnels invités au travail, associés au cloud, font de la mobilité et du temps réel une règle. Sans parler du big data galopant, qui promet de faire parler toutes les données, structurées ou non, et qui donne un nouveau pouvoir, aujourd’hui au marketing, demain aux produits. Des produits de plus en plus connectés, ou tirant leur valeur non plus d’eux-mêmes mais des services associés, le plus souvent en ligne. Pour y survivre, l’industrie doit donc faire preuve d’encore plus d’intelligence et de remise en question que les secteurs des services. Ces industriels qui se transforment ont désormais un rendez-vous annuel, le Smart industry summit, dont la première édition se tient le 29 mai 2013 à Paris. L’événement réunit les professionnels du numérique au service de l’industrie, acteurs, experts, fournisseurs et champions de cette révolution en cours.
Gare à ceux qui font l’autruche ! Les entreprises les plus matures en matière numérique, aussi appelées "Digirati", seraient déjà de 9 à 26 fois plus performantes que les autres, selon une étude Capgemini consulting-MIT réalisée auprès de 400 grandes entreprises. Leur secret ? Avoir une stratégie numérique pilotée au plus haut niveau, comme chez Nike [lire page 32], Volvo ou Ford [lire ci-dessous]. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si GM a embauché quelque 10 000 développeurs informatiques.
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GE confie à la foule ses objets connectés
Les inventeurs intéressent General Electric (GE). Le géant américain de la construction électrique les invite à imaginer et à concevoir des objets connectés via le site internet d’innovation participative (crowd innovation) de Quirky, une start-up new-yorkaise dédiée à la co-création. Et pour les aider à aller au bout de leurs idées sans être contraints par la propriété intellectuelle, il met à la disposition des contributeurs des milliers de brevets. Ceux-ci ont donc accès à des technologies clés dans l’optique, l’holographie, l’encapsulation à film mince de composants électroniques ou encore la télématique au cœur des systèmes de navigation automobile. Lancée en mai 2013 sous le nom "Wink : instantly connected", cette initiative vise à accélérer le développement des objets connectés en misant sur l’imagination débridée des inventeurs et les attentes des utilisateurs.
Dans un premier temps, GE privilégie les domaines de l’énergie, de la santé, de la domotique et de l’électroménager, en mettant tout particulièrement l’accent sur les dispositifs contrôlés à distance par des smartphones. Les premiers produits nés de cette innovation participative pourraient se concrétiser avant la fin de l’année.
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Siemens prêt pour l’Amérique et l’industrie 4.0
Pour le groupe allemand, les process industriels et les architectures logicielles ne forment plus qu’un. C’est aux Etats-Unis que Siemens s’est forgé sa compétence software.
C’est un fait contre-intuitif. Le premier marché industriel de Siemens n’est ni l’Allemagne, ni la Chine… mais les Etats-Unis. "Nous avons investi 25 milliards de dollars dans le pays ces dernières années et, depuis 7 ans, nous y avons réalisé 80 % de nos acquisitions", s’enthousiasme Helmut Ludwig, directeur de l’activité Industrie aux Etats-Unis. Ces acquisitions sont, bien évidemment, liées à la renaissance de l’industrie américaine, portée par la faiblesse des prix du gaz grâce à l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels. Les industries très énergivores (chimie, sidérurgie, raffinage…) trouvent aux Etats-Unis des coûts globaux comparables à ce qui se pratique dans les "pays à bas coûts".
Afin de concevoir et d’équiper les nouvelles usines qui fleurissent sur le territoire américain, les investissements de Siemens ne se sont pas faits dans la mécanique ou l’électrotechnique, mais principalement dans le logiciel.
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15% d’économie d’énergie en automatisant la veille des robots industriels
Avec une meilleure gestion des mises en veille des robots de production, une économie d’énergie de 15 % peut être réalisée. Présentée sur le stand de Phoenix Contact, l’innovation est le fruit de travaux de recherche entre des fabricants automobiles et le Fraunhofer Institut.
Même à l’arrêt, les robots utilisés sur les chaînes de production automobile consomment de l’énergie. D’où un gain potentiel énorme sur lequel se sont penchés plusieurs groupes industriels, dont Volkswagen ou BMW, avec l’aide de l’Institut Fraunhofer. Le résultat de ce projet, baptisé ProfiEnergy, est présenté à la foire d’Hanovre sur le stand de la société Phoenix Contact sous la forme d’un robot affichant un sympathique sourire.
COMME UN ORDINATEUR, LE ROBOT PASSE EN VEILLE
Pour l’heure, l’arrêt des robots se fait généralement manuellement et pour des arrêts assez longs. "Avec notre innovation, que la pause dure cinq minutes ou le temps d’un week-end, c’est le système de régulation de l’énergie (SPS) qui décide du mode de veille du robot, entre stand-by pour une courte pause ou arrêt total, explique un commercial de la société allemande. Le redémarrage se fait au moment adéquat et est également géré par le système SPS".
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Biocarburants de deuxième génération : les technos sont prêtes, mais qui veut les industrialiser ?
Les technologies pour produire les biocarburants de seconde génération arrivent à maturité. Faute de contexte règlementaire stable, l’Europe peine à les industrialiser, d'après l'Ifpen.
L’usine italienne Beta Renewables s’apprête à produire 40 000 tonnes de bioéthanol par an à partir de canne de Provence... Une mauvaise herbe ! Avec ce volume, l’usine vise la rentabilité économique, rien de moins. Une grande première dans l’univers des biocarburants de seconde génération.
Pourtant, ce pionnier semble condamné à rester l’exception européenne qui confirme la règle : tous ses concurrents ont choisi de s’épanouir Outre-Atlantique. Car à l’heure où les biocarburants de deuxième génération passent enfin du rêve de laboratoire à la réalité industrielle, l’incertitude réglementaire freine les investisseurs du Vieux Continent. Telle est, en substance, l’analyse de l’Institut français du pétrole et des énergies nouvelles (Ifpen), qui faisait un point le mardi 11 juin sur les perspectives du marché des biocarburants.
Des procédés plus sélectifs
Résumé des épisodes précédents : les biocarburants de première génération, qui produisent bioéthanol et biodiesel à partir de plantes sucrières ou céréalières,
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Gaz de schiste et produits haute performance : les préconisations de Plastics Europe pour la France
Malgré une demande mondiale de plastiques en hausse, les industriels européens connaîtront la stagnation en 2013 et en 2014, selon le dernier bilan annuel de Plastics Europe. La France fait néanmoins partie des pays les moins affectés et doit capitaliser sur ses forces, notamment les plastiques de spécialité, estime l'organisme interprofessionnel européen.
Durant deux années consécutives, 2011 et 2012, la production de bioplastiques en Europe a reculé, précise le dernier bilan économique de Plastics Europe, présenté le mercredi 29 mai à Paris. L’association européenne prévoit également une stagnation de l’activité dans les deux années qui viennent. Ces résultats décevants surviennent alors que la demande mondiale de plastiques n’a jamais été aussi forte, atteignant 288 millions de tonnes en 2012.
Malgré ce bilan globalement négatif, la France s’en sort mieux que certains de ses voisins, la production étant attendue en hausse de 2,5% en 2013, puis 3% en 2014. Ceci en partie grâce aux plastiques de spécialité, sur lesquels le pays est en pointe. « Il y a aussi les plastiques de « commodité plus »,
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Des smartphones rechargeables en dix minutes grâce au graphène
La start-up américaine SiNode Systems a remporté le Rice Business Plan Competition 2013, récompensant des projets commerciaux prometteurs, grâce à ses batteries dopées au graphène. Celles-ci pourraient permettre de recharger les smartphones en quelques minutes.
SiNode Systems ne cache pas ses ambitions : produire une nouvelle génération de batteries pour alimenter les quelques 1,3 milliards de smartphones de la planète. Son idée : remplacer le graphite de l’électrode négative, par son cousin surdoué, le graphène. Quelle différence ? Les deux matériaux sont dérivés du carbone, mais le graphène jouit d’une géométrie plus noble : il s’agit d’une feuille d’atomes parfaitement arrangés en nid d’abeille. A la clé, des performances de conductivité sans commune mesure.
En l’occurrence, SiNode Systems, fondée sur des travaux menés à l’université de Northwestern, aux États-Unis,
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Les énergies renouvelables devraient devenir la deuxième source d'électricité en 2016
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) prévoit qu'en 2016, les énergies renouvelables doubleront le gaz pour devenir la deuxième source d'électricité dans le monde, derrière le charbon.
Les énergies renouvelables occupent une place de plus en plus importante dans le mix énergétique mondial. D'après une étude publiée mercredi 25 juin par l'Agence internationale de l'énergie (AIE), cette source d'énergie devrait ainsi doubler le gaz pour devenir la deuxième source d'électricité dans le monde en 2016, derrière le charbon.
LE DOUBLE DE LA PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ ISSUE DU NUCLÉAIRE
"La production d'électricité de l'hydraulique, du vent, du solaire et d'autres sources renouvelables dépassera celle du gaz et sera le double de celle du nucléaire dans le monde en 2016", indique l'AIE dans son rapport. Ce secteur devrait en effet progresser au total de 40% au cours des cinq ans à venir.
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Le premier vol du CSeries de Bombardier, prévu fin juin, est encore reporté
L'avionneur canadien Bombardier Aéronautique a annoncé le 26 juin être contraint de décaler d'un mois le vol inaugural de son nouveau jet régional, le CSeries. Il est désormais prévu pour fin juillet.
Encore un report dans le nouveau programme phare CSeries de Bombardier Aéronautique. Dans un communiqué publié le 26 juin, l'avionneur annonce être sur le point de terminer les essais de vibrations au sol de l'avion et les mises à niveau logicielles finales, en préparation du vol inaugural désormais planifié d'ici la fin du mois de juillet.
Bombardier a également fait état de l'obtention de tous les fournisseurs des déclarations de sécurité aérienne (SOF), et a confié avoir fait une demande d’autorisation de vol d’essai présentée à Transports Canada.
Le Leap X : Nouvelle Star
Fruit de l'alliance entre le français Snecma détenu par Safran, et l'américain General Electric, le Leap X a la lourde tâche de succéder à la famille CFM 56. Celle-ci a rencontré un immense succès auprès des avionneurs en ayant équipé des Best-sellers tels que l'A320 ou le B737. Le Leap X semble cependant bien parti pour égaler son illustre ancêtre : il a déjà été choisi pour motoriser le programme A320 NEO et par le futur avion chinois Comac 919 dont le succès est assuré par l'activisme gouvernemental chinois. CFM Internatioanl a ainsi décrocher au salon du Bourget un total de 7 milliards d'euros de commandes pour la fourniture de nouveaux moteurs dont 468 LEAP X.
Source: http://www.usinenouvelle.com/
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Le GEnx : une succession assurée
Destiné à remplacer la famille des CFM-6 ayant notamment équipés certains B747, MD-11 et DC-10, le GEnx de General Electric équipera principalement les moyens et gros porteurs de Boeing, les B747 et B787, et hypothétiquement les A350, chasse gardée du Trent 1500 de Rolls Royce. L'avenir de ce réacteur est quasi assuré par le succès des programmes qu'ils motorisent. A titre d'exemple, le loueur Gecas a annoncé une commande de 10 modèles 787-10 équipés du GEnx, lors du salon du Bourget.
Source: http://www.usinenouvelle.com/
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Le TP 400 : un moteur et des ratés
Le TP 400 du consortium Europrop International a été conçu pour motoriser l'A-400M, le nouvel appareil de transport militaire d'Airbus. Sa fabrication s'est cependant heurtée à de nombreux problèmes techniques inhérents à sa complexité à l'image de l'arrêt d'une de ses quatre turbines lors d'un vol d'essai. Europrop International a pour le moment enregistré 700 commandes pour son TP 400. Mais sa production reste étroitement liée au succès commercial de l'A-400M, commandé pour le moment à 173 unités par différents gouvernements européens. Peu de contrats à l'export se profilent pour l'instant.
Source: http://www.usinenouvelle.com/
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Internet de l’énergie, des machines au service d’usages intelligents
Smart grid, smart city, smart meter, et leurs déclinaisons françaises, réseau, ville et compteur intelligents, sommes-nous subitement entourés par des technologies devenues capables de réfléchir par elles-mêmes ?
Pour Carlos Moreno, chercheur spécialiste des systèmes complexes, « smart » renvoie en fait à la conjonction de trois éléments distincts :
Le faible coût et la mobilité des moyens de communication,
« L’ubiquité de l’information » qui consiste à trouver plusieurs usages à la même information, la capacité à « croiser ces informations pour pouvoir mieux piloter, contrôler, paramétrer ».
La grande révolution de notre quotidien, c’est l’avènement des technologies de l’information, symbolisé par internet. Pendant près de deux décennies, l’usage d’internet s’est limité pour le citoyen lambda a échangé des données avec d’autres au travers d’un ordinateur, puis d’un téléphone portable. Aujourd’hui, un nouveau tournant est en train d’avoir lieu : la communication de machine à machine, « M2M », sans intervention humaine.
Plutôt que de parler de réseaux ou de compteurs « intelligents », il est dès lors plus juste de les qualifier de « communicants ». La généralisation en France des compteurs Linky, pour l’électricité, ou Gazpar, pour le gaz, doit permettre de tisser un réseau ou les informations s’échangent. De cette manière, le surplus d’électricité produit par exemple par les panneaux photovoltaïques d’un particulier peut être transféré vers son voisin. Jeremy Rifkin, théoricien de la troisième révolution industrielle, évoque ainsi un « internet de l’énergie », tandis que Joël de Rosnay parle, lui, d’« EnerNet : un Internet de l'énergie en peer to peer ».
Là où il y a lieu de parler d’intelligence, c’est dans l’usage de ces nouveaux échanges d’informations relatives à l’énergie.
A l’échelle individuelle, cela permet de mesurer sa consommation d’énergie mais aussi de développer le pilotage des différents équipements du logement.
A l’échelle globale, ce réseau communicant permet de mieux répartir l’énergie. On pourra ainsi faire plus avec moins au travers de techniques comme l’effacement diffus. On réduira également les interruptions de courant ou les fuites de gaz, en repérant rapidement le point problématique.
Le système énergétique ne va pas tout d’un coup devenir intelligent, par contre l’installation de matériels communicants, à commencer par les compteurs, va permettre de faire meilleur usage de l’électricité ou du gaz. Plus largement, le déploiement de systèmes analogues pour l’eau ou les transports permettra une société plus économe et pourtant plus confortable.
Source : http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/
Après le nucléaire, la France nouveau leader des énergies marines ?
A l’heure où le nucléaire est de plus en plus contesté dans le mix énergétique français, où la part des énergies renouvelables est appelée à augmenter, la quête de nouvelles sources d’énergie est constante. La mer, longtemps négligée, est de plus en plus pressentie comme le nouveau gisement d’énergie de la France.
Derrière l’expression « énergie marines renouvelables » (EMR) se cachent de nombreuses manières d’exploiter le potentiel de l’océan. L’éolien offshore bien sûr, en phase de déploiement le long de la Manche, mais aussi les centrales marémotrices comme celles de la Rance qui utilise le flux et le reflux de la marée, ou encore l’hydrolien, l’exploitation des courants marins, dont les premiers prototypes sont en train d’être testés au large des côtes bretonnes. Il existe d’autres formes d’énergies marines plus originales, comme l’énergie osmotique, reposant sur le différentiel de salinité entre eaux douce et salée, ou la force houlomotrice, l’énergie générée par les vagues.
Face à cette profusion de manière d’utiliser la mer, la France dispose de sérieux atouts. Elle a en effet le deuxième espace maritime mondial (11 millions de km2), derrière les Etats-Unis. A l’échelle européenne, notre pays détient le second gisement hydrolien, après la Grande Bretagne.
Oui à la divulgation des recherches menées sur les énergies libres !
A l'heure où la planète menace de s'embraser pour des luttes de domination des ressources énergétiques "classiques" : Pétrole (Irak, Iran, océan Arctique, ...) ; gaz "naturel" (Russie, Algérie, ...) ; gaz de schiste (France, Canada, USA, ...) ; uranium (Mali, ...)
On n'entend ni ne lit JAMAIS les avancées des recherches menées depuis plus d'un siècle sur les énergies non polluantes et quasiment illimitées, donc accessible pour tous gratuitement.
Le grand physicien serbo-croate Tesla (1856-1943) y consacra, toute sa vie. Ses travaux, ses brevets ont quasiment tous été confisqués par son pays d'accueil, les usa. Il paraît qu'il ne s'entendait pas du tout avec Einstein... étonnant, non ?
D'autres générations de par le monde ont et continuent de travailler discrètement sur d'autres solutions énergétiques.
Nous autres français, savons-nous que dans la ville de Fontainebleau, existe depuis 8 ans, un organisme GIFNET ? Voir leur site www.gifnet.org
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L’énergie de demain : mise au point
Après les premiers retours consécutifs à la publication de l'article L'énergie de demain, il semble utile de préciser un peu plus le but recherché par cette publication, et les principes exposés.
Les personnes qui adhèrent à cette initiative et souhaiteraient aller plus loin, peuvent certainement me contacter par l'intermédiaire du site et de ses modérateurs. Ils sont les bienvenus.
J’ai beaucoup hésité à publier mon article précédent sur Agoravox, car je n’étais pas sûr que ce soit l’endroit adapté au but que j’essaie d’atteindre : créer un courant de pensée qui puisse mieux faire communiquer la communauté scientifique et l’exploration technologique un peu empirique. J’utilise plus volontiers un contact direct auprès de ces deux mondes. Mais Agoravox peut conduire à diffuser ce courant de pensée, et créer un buzz qui sera repris par les professionnels. La contre partie, c’est qu’en avançant à découvert dans le « no man’s land entre ces deux mondes, on essuie forcément le tir des veilleurs qui appliquent la consigne : tirer sur tout ce qui semble ennemi ! C’est vieux comme la guerre ! Mais ce n’est pas grave, juste un peu ennuyeux d’avoir à ramper pour éviter les balles !
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L’utilisation de l’air comprimé comme force
L’air comprimé est utilisé comme force, soit en compression, soit en dépression et enfin, en ajout d’une compression initiale.
En compression, il sert à soulever des charges lourdes, au moyen de coussins d’air. On gonfle un coussin, qu’on place sous un véhicule ; on peut alors intervenir dessous. Une utilisation plus intéressante est le déplacement de charges lourdes. On gonfle un coussin d’air, de forme très aplatie ; arrivé à une certaine pression, l’air s’échappe en dessous du coussin et forme une mince pellicule d’air entre le coussin et le sol. Ce système divise les forces de frottement par 1 000 et permet à une seule personne de déplacer des charges de plusieurs tonnes.
En dépression, l’air comprimé est utilisé pour déplacer un véhicule, c’est le cas de la voiture à air comprimé de Monsieur Nègre. La puissance est assez faible et la voiture ne peut monter une côte de plus de 3 %. Peugeot étudie une conception de voiture mixte : air comprimé et essence. Durant les périodes de décélération, on utilise l’énergie cinétique du véhicule pour fabriquer et stocker de l’air comprimé. Celui-ci est utilisé en décompression, mais en ajout de la carburation à l’essence. Le même système est développé par Renault Trucks, mais au lieu de l’air comprimé, c’est de l’électricité.
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H (Ψ) = E Ψ : La matière n’existe pas ; tout n’est que forme et énergie
Cette fois je me décide à vous faire partager l’une des découvertes les plus surprenantes de ces dernières années. Le texte qui suit a été publié en annexe à ma thèse (Procès et Miroir, éléments de métaphysique, Poitiers, 1996) puis remanié pour être intégré comme un chapitre dans un essai sur la fin du matérialisme. Seules quelques personnes ont pu avoir accès à ce texte. L’édition étant parsemée d’obstacles, je me décide à publier cette découverte pour la partager. Par ailleurs, étant donné que ce texte a circulé chez quelques personnes du monde de l’édition, je préfère que cette découverte soit présentée ici par mes soins plutôt que remanié par un improbable épistémologue qui pourrait s’en attribuer la paternité. Pour la petite histoire, cette étude a été effectuée suite à une requête du rapporteur de thèse Hervé Barreau afin d’appuyer une analyse de la métaphysique d’Aristote dans laquelle j’avais lancé avec une désinvolte intuition la thèse de la dualité forme énergie dans la théorie quantique, en relation avec mon interprétation de l’hylémorphisme aristotélicien sous l’angle d’une dualité forme et… non pas matière, mais mouvement. Et donc, je me suis farci du Schrödinger et un peu de mathématique quantique pour arriver à ce résultat épistémologique fondamental. La matière répond en fait à une dualité forme et énergie, lesquelles peuvent être déduites d’une analyse quantique. Cette découverte appuie le nouveau paradigme en s’inscrivant dans le cadre des nouvelles orientations « ontologiques » sur l’importance de l’entropie et de l’information qui est, selon Vlatko Vedral, un donné fondamental de l’univers. Bonne lecture. N’attendez pas une quelconque application pratique mais sachez apprécier le plaisir de connaître l’univers dans lequel vous existez. Ce n’est que le début d’une révolution ontologique.
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