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Le plasma atmosphérique facilite l’impression sur les plastiques chez Bosch

Pour diminuer le coût de ses mixeurs BSH Bosch est passé de l’ABS au polypropylène pour les carters, mais il s’est trouvé confronté à un problème d’impression. Les méthodes traditionnelles de prétraitement posant des problèmes d’esthétique, les ingénieurs ont finalement opté pour une projection de plasma à la pression atmosphérique.
Afin de pouvoir augmenter la capacité d’une nouvelle ligne de production de mixeurs tout en réduisant ses coûts de production, BSH Bosch Electroménager a décidé de remplacer l’ABS utilisé pour leurs carters par du polypropylène (PP), tout aussi résistant mais moins onéreux. Mais il s’est heurté à un problème de fabrication majeur la mauvaise imprimabilité du PP.
En effet, pour réaliser une impression par tampographie offrant une bonne tenue, stable sur le long terme, sur les carters, il fallait impérativement assurer un nettoyage approfondi et une activation élevée des surfaces plastiques.
C’est le site industriel de BSH Bosch situé dans la ville Slovaque de Nazarje, en charge du développement, de la production, de la qualité et de la commercialisation à l’échelle mondiale de ses petits produits électroménagers, qui a été chargé de trouver une solution.

Le Leap X : Nouvelle Star

Fruit de l'alliance entre le français Snecma détenu par Safran, et l'américain General Electric, le Leap X a la lourde tâche de succéder à la famille CFM 56. Celle-ci a rencontré un immense succès auprès des avionneurs en ayant équipé des Best-sellers tels que l'A320 ou le B737. Le Leap X semble cependant bien parti pour égaler son illustre ancêtre : il a déjà été choisi pour motoriser le programme A320 NEO et par le futur avion chinois Comac 919 dont le succès est assuré par l'activisme gouvernemental chinois. CFM Internatioanl a ainsi décrocher au salon du Bourget un total de 7 milliards d'euros de commandes pour la fourniture de nouveaux moteurs dont 468 LEAP X.
Source: http://www.usinenouvelle.com/

Le GEnx : une succession assurée

Destiné à remplacer la  famille des CFM-6 ayant notamment équipés certains B747, MD-11 et DC-10, le GEnx de General Electric équipera principalement les moyens et gros porteurs de Boeing, les B747 et B787, et hypothétiquement les A350, chasse gardée du Trent 1500 de Rolls Royce. L'avenir de ce réacteur est quasi assuré par le succès des programmes qu'ils motorisent. A titre d'exemple, le loueur Gecas a annoncé une commande de 10 modèles 787-10 équipés du GEnx, lors du salon du Bourget.
Source: http://www.usinenouvelle.com/

Après le nucléaire, la France nouveau leader des énergies marines ?

A l’heure où le nucléaire est de plus en plus contesté dans le mix énergétique français, où la part des énergies renouvelables est appelée à augmenter, la quête de nouvelles sources d’énergie est constante. La mer, longtemps négligée, est de plus en plus pressentie comme le nouveau gisement d’énergie de la France.
Derrière l’expression « énergie marines renouvelables » (EMR) se cachent de nombreuses manières d’exploiter le potentiel de l’océan. L’éolien offshore bien sûr, en phase de déploiement le long de la Manche, mais aussi les centrales marémotrices comme celles de la Rance qui utilise le flux et le reflux de la marée, ou encore l’hydrolien, l’exploitation des courants marins, dont les premiers prototypes sont en train d’être testés au large des côtes bretonnes. Il existe d’autres formes d’énergies marines plus originales, comme l’énergie osmotique, reposant sur le différentiel de salinité entre eaux douce et salée, ou la force houlomotrice, l’énergie générée par les vagues.
Face à cette profusion de manière d’utiliser la mer, la France dispose de sérieux atouts. Elle a en effet le deuxième espace maritime mondial (11 millions de km2), derrière les Etats-Unis. A l’échelle européenne, notre pays détient le second gisement hydrolien, après la Grande Bretagne.

Inauguration du plus grand radiotélescope du monde

La démesure semble la norme au Chili. Sur ces hauteurs, précisément dans le désert d’Atacama, se succèdent télescopes et observatoires tous plus grands et puissants les uns que les autres. Le nouveau se nomme ALMA et a été inauguré il y a deux jours.
Dans cette région du Chili sont concentrés le VLT ou Very Large Telescope (au Cerro Pananal), l’ALMA et bientôt le EELT, European Extremely Large Telescope, encore en construction. Tous en altitude sur le désert d’Atacama. Ils ne sont pas seuls : on y trouve aussi le célèbre observatoire de La Silla, composé de plusieurs coupoles. L’un des deux télescopes Gemini au miroir de 8 mètres, l’autre étant à Hawaï ; La Campanas, formé actuellement de deux télescopes de 6 mètres - il est en agrandissement et en 2020 il sera composé de 7 miroirs de 8,4 mètres disposés en pétales.
Pourquoi une telle concentration de haute technologie astronomique ici ? Le désert d’Atacama est la région la plus aride de la planète (entre 0,8 mm et 50 mm de pluie par an). Elle ne subit aucune pollution lumineuse et dispose d’un ciel clair presque toute l’année. Il y fait en moyenne entre -5° la nuit et +25° le jour. Dans ce désert du nord du Chili, situé entre 2’500 et 5’000 mètres d’altitude, la Nasa a testé ses véhicules martiens avant de les envoyer dans l’espace.
Pour se faire une idée de la région, voici quelques phrases prises du site de Serge Brunier, qui propose également un timelapse vidéo intitulé « 24 heures d’éternité en Atacama ».

Vers une identité numérique « vertuelle » ? Data sciences... humaines

Le monde numérique offre des opportunités sans précédent. Un réseau qui libère les énergies individuelles et leur donne un pouvoir d’action sur le monde comme jamais cela ne fut le cas auparavant... Mais cette puissance ne doit pas cacher des difficultés et des questionnements de fond, qu’il faudra penser individuellement et collectivement pour éviter que l’individu lui-même ne se perde dans le système…
Big data. Ou ces mille milliards de données qui circulent dans le réseau. Un vacarme assourdissant. Suffit-il de poser la bonne question au système pour que les données se mettent à parler ? Quand les données parlent, les humains décident. Il faut créer de l’information sensée, faire cesser le vacarme et en sortir de la musique. Une musique qui vous dira quoi faire, quoi inventer, comment optimiser. Les réponses à toutes les questions sont là, dans le réseau, qui attendent. Disponibles à qui voudra bien les traiter, les analyser et les modéliser. Mais qui saura faire parler la machine ? Qui saura dégager du chaos informationnel du sens ?
Les Datas Scientists, comme on les nomme depuis peu, n’ont pas le monopole du sens… D’autres voies doivent être explorées. D’autres voix doivent s’exprimer. Data sciences humaines… En tant que principal producteur de données, l’humain nourrit le système. En tant que nœud du réseau, l’humain est le cœur fragmenté du monde numérique. Ce que l’humain exprime dans le réseau, c’est la matière première. Aussi l’individu numérisé est donc devenu un enjeu majeur pour tous : Analystes de données, autant que vous et moi.

H (Ψ) = E Ψ : La matière n’existe pas ; tout n’est que forme et énergie

Cette fois je me décide à vous faire partager l’une des découvertes les plus surprenantes de ces dernières années. Le texte qui suit a été publié en annexe à ma thèse (Procès et Miroir, éléments de métaphysique, Poitiers, 1996) puis remanié pour être intégré comme un chapitre dans un essai sur la fin du matérialisme. Seules quelques personnes ont pu avoir accès à ce texte. L’édition étant parsemée d’obstacles, je me décide à publier cette découverte pour la partager. Par ailleurs, étant donné que ce texte a circulé chez quelques personnes du monde de l’édition, je préfère que cette découverte soit présentée ici par mes soins plutôt que remanié par un improbable épistémologue qui pourrait s’en attribuer la paternité. Pour la petite histoire, cette étude a été effectuée suite à une requête du rapporteur de thèse Hervé Barreau afin d’appuyer une analyse de la métaphysique d’Aristote dans laquelle j’avais lancé avec une désinvolte intuition la thèse de la dualité forme énergie dans la théorie quantique, en relation avec mon interprétation de l’hylémorphisme aristotélicien sous l’angle d’une dualité forme et… non pas matière, mais mouvement. Et donc, je me suis farci du Schrödinger et un peu de mathématique quantique pour arriver à ce résultat épistémologique fondamental. La matière répond en fait à une dualité forme et énergie, lesquelles peuvent être déduites d’une analyse quantique. Cette découverte appuie le nouveau paradigme en s’inscrivant dans le cadre des nouvelles orientations « ontologiques » sur l’importance de l’entropie et de l’information qui est, selon Vlatko Vedral, un donné fondamental de l’univers. Bonne lecture. N’attendez pas une quelconque application pratique mais sachez apprécier le plaisir de connaître l’univers dans lequel vous existez. Ce n’est que le début d’une révolution ontologique.