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Gaz de schiste et produits haute performance : les préconisations de Plastics Europe pour la France

Malgré une demande mondiale de plastiques en hausse, les industriels européens connaîtront la stagnation en 2013 et en 2014, selon le dernier bilan annuel de Plastics Europe. La France fait néanmoins partie des pays les moins affectés et doit capitaliser sur ses forces, notamment les plastiques de spécialité, estime l'organisme interprofessionnel européen.
Durant deux années consécutives, 2011 et 2012, la production de bioplastiques en Europe a reculé, précise le dernier bilan économique de Plastics Europe, présenté le mercredi 29 mai à Paris. L’association européenne prévoit également une stagnation de l’activité dans les deux années qui viennent. Ces résultats décevants  surviennent alors que la demande mondiale de plastiques n’a jamais été aussi forte, atteignant 288 millions de tonnes en 2012.
Malgré ce bilan globalement négatif, la France s’en sort mieux que certains de ses voisins, la production étant attendue en hausse de 2,5% en 2013, puis 3% en 2014. Ceci en partie grâce aux plastiques de spécialité, sur lesquels le pays est en pointe. « Il y a aussi les plastiques de « commodité plus »,

Le premier vol du CSeries de Bombardier, prévu fin juin, est encore reporté

L'avionneur canadien Bombardier Aéronautique a annoncé le 26 juin être contraint de décaler d'un mois le vol inaugural de son nouveau jet régional, le CSeries. Il est désormais prévu pour fin juillet.
Encore un report dans le nouveau programme phare CSeries de Bombardier Aéronautique. Dans un communiqué publié le 26 juin, l'avionneur annonce être sur le point de terminer les essais de vibrations au sol de l'avion et les mises à niveau logicielles finales, en préparation du vol inaugural désormais planifié d'ici la fin du mois de juillet.
Bombardier a également fait état de l'obtention de tous les fournisseurs des déclarations de sécurité aérienne (SOF), et a confié avoir fait une demande d’autorisation de vol d’essai présentée à Transports Canada.

La science dans l’impasse avant la plus grande révolution depuis quatre siècles

Cette fois ma conviction est forgée, définitive, inébranlable, incontournable, la science est arrivée dans une impasse. Elle n’a plus aucune issue sauf à faire des expériences et trouver des résultats, un peu à l’image d’une partie de poker perpétuelle qui se joue avec des nouvelles cartes mais qui reste pour l’essentiel un jeu de cartes. Enfin, disons que les cartes sont de même nature, elles sont des mécanismes, des interactions, des phénoménalités analytiques, des statistiques. Le jeu est sans fin, on l’appelle la science ou comme disent certains, publish or perish. Bref, un jeu interminable qui est sans issue et ne peut plus s’arrêter, comme le loto, le football ou le téléthon. La sophistication des engins technologiques ne peut épuiser l’infinie complexité des mécanismes naturels. Le jeu est sans fin. Il ne produira pas d’explication. Juste des résultats, avec des applications, des scientifiques et des financiers et le marché qui va avec. Les publications financent les moyens permettant de produire d’autres publications. Je serais tenté d’y aller avec une démonstration à la Marx.
M-A-M devient A-M-A S-P-S devient P-S-P
C’est clair ! Marx explique que dans une économie fondée sur l’utilité, on vend un bien pour en acheter un autre alors que l’économie du profit utilise la marchandise M comme moyen pour faire de l’argent A. La seconde formule dit ceci. Une recherche qui se veut scientifique dans ses fins utilise la publication comme intermédiaire entre deux états d’avancement de la science.

USA : Accord entre la CIA et Amazon pour mémoriser toutes les données transmises sur les réseaux sociaux

Un gigantesque trou noir qui engloutira et mémorisera les coups de téléphone, les SMS, les emails, les discussions, les «  I Like  » et tout type de données que des millions et des millions d’utilisateurs ajoutent chaque seconde sur le Web. La CIA veut en recueillir le plus possible et les avoir à disposition « pour toujours  », de façon à pouvoir les analyser dans le but de garantir la sécurité des États-Unis. Ira « Gus » Hunt, le responsable du département technologique de la CIA l’a expliqué depuis New York. La nouvelle, écrit le Huffington Post, est survenue deux jours après l’annonce de l’accord conclu avec Amazon qui fournira à l’Agence la technologie permettant de construire un nuage informatique (Cloud) capable de conserver des quantités de données jamais imaginées auparavant.
Le « Big data » est à la fois le présent et l’avenir du Renseignement, et les services secrets américains s’équipent pour s’assurer la « possibilité de stoquer toutes les informations générées par l’espèce humaine ». Dans le langage des services, on dit « All source analysis »  : mettre en relation toutes les informations à disposition (« relier les points entre eux ») et «  informer le président et le secrétaire à la Défense », a expliqué mercredi Hunt à la « GigaOM’s structure : Data conference » à New York : «  Nous ne pouvons connaitre la valeur de chaque information en notre possession aujourd’hui qu’en la reliant à d’autres informations qui arriveront plus tard (…). C’est pour cela que nous cherchons maintenant à recueillir tout type de données et à les mémoriser pour toujours  ». Le mot d’ordre est Big Data, les grands agrégats d’informations créés par le développement vertigineux des médias numériques, et « surtout par les réseaux sociaux  ». « Savez-vous que 35 % de toutes les photos numériques prises dans le monde finissent sur Facebook et que chaque jour, ce sont 124 milliards de tweets qui sont transmis ?  »