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Stratasys rachète le fabricant d’imprimantes 3D économiques Makerbot

Stratasys rachète le fabricant d’imprimantes 3D économiques Makerbot
Il y a encore un an, la Replicator de Makerbot était une imprimante 3D open source. Aujourd’hui, elle appartient au numéro un mondial de la fabrication additive. Stratasys a racheté Makerbot pour 400 millions de dollars.
En rachetant Makerbot, Stratasys sonne la fin d’une époque. Le numéro un mondial des systèmes de fabrication additive met la main sur le champion de la petite imprimante 3D économique. Créé en 2009, Makerbot avait lancé la Replicator en kit et en mode open source. Les plans de l’imprimante étaient gratuits et modifiables, et la communauté pouvait proposer des améliorations. La Replicator première du nom est rapidement devenue l’imprimante 3D des Fab Labs.
L’arrivée de la Replicator 2, vendue par un réseau commercial et à la propriété intellectuelle protégée, avait déjà fait grincer les dents des premiers utilisateurs. Ce revirement survenait après l’arrivée de prestigieux investisseurs au sein de la société créée par un ancien hacker.

Un logiciel de réalité augmentée pour réduire les problèmes de maintenance et les coûts

Un logiciel de réalité augmentée pour réduire les problèmes de maintenance et les coûts
L'un des plus grands complexes hôteliers Australiens, Crown, se met à la réalité augmentée pour améliorer ses performances et coûts liés à la maintenance, en utilisant la plateforme d'IBM Maximo.
Crown, l'un des plus grands casinos et complexes hôteliers australiens, au revenu annuel de 1,73 milliards de dollars, s'est retrouvé confronté au challenge de faire fonctionner efficacement une entreprise avec 6 800 employés et de nombreux problèmes de maintenance. Crown s'est donc mis au numérique, en intégrant la plateforme de management d'IBM appelée Maximo à son système d'administration. Grâce à la géolocalisation, à des outils mobiles et de réalité augmentée, l'entreprise a repensé entièrement son système de management pour réduire ses problèmes de maintenance et leurs coûts. Une solution qui, adaptée à d'autres secteurs industriels, peut changer la vie en usine.
LA LOGISTIQUE DU FUTUR
Pour gérer des milliers de conduits, générateurs, systèmes d'air conditionné, réfrigérateurs, lumières et autres, il faut un sacré système. Le numérique permet aux employés de Crown d'avoir accès sur leurs iPhones à tous les problèmes de maintenance à régler, et de les cartographier grâce à la géolocalisation, réduisant ainsi leur temps de réaction. Par ailleurs, la plateforme d'IBM, intégrée avec le système d'administration de Crown Peoplesoft, génère une base de données qui répertorie tous les détails et l'historique des infrastructures.

Le coup de pompe des robinets

Le coup de pompe des robinets
Selon les chiffres publiés par Profluid, l’année 2013 ne verra qu’une faible progression de la production des pompes, compresseurs et des robinets.
La production française des pompes, compresseurs et des robinets se maintient. Profluid, le syndicat professionnel des fabricants d’équipements du secteur vient de publier les chiffres de 2012 et les perspectives pour 2013 pour ce secteur qui réalise un chiffre d’affaires de 5,6 milliards d’euros et emploie 27 000 personnes.
Si le secteur de la robinetterie a poursuivi sa progression (+4%) en 2012, celui des pompes a marqué le pas avec une quasi stabilité, tout en restant toujours positif. Et avec des exportations s’élevant à 940,6 millions d’euros pour des importations de 1 267,4 millions d’euros, la balance commerciale est largement déficitaire pour les pompes. En revanche, les balances pour les compresseurs et les robinets sont positives, avec un excédent de 216,5 millions d’euros pour les premiers et de 175,6 millions d’euros pour les seconds.

15% d’économie d’énergie en automatisant la veille des robots industriels

Avec une meilleure gestion des mises en veille des robots de production, une économie d’énergie de 15 % peut être réalisée. Présentée sur le stand de Phoenix Contact, l’innovation est le fruit de travaux de recherche entre des fabricants automobiles et le Fraunhofer Institut.
Même à l’arrêt, les robots utilisés sur les chaînes de production automobile consomment de l’énergie. D’où un gain potentiel énorme sur lequel se sont penchés plusieurs groupes industriels, dont Volkswagen ou BMW, avec l’aide de l’Institut Fraunhofer. Le résultat de ce projet, baptisé ProfiEnergy, est présenté à la foire d’Hanovre sur le stand de la société Phoenix Contact sous la forme d’un robot affichant un sympathique sourire.
COMME UN ORDINATEUR, LE ROBOT PASSE EN VEILLE
Pour l’heure, l’arrêt des robots se fait généralement manuellement et pour des arrêts assez longs. "Avec notre innovation, que la pause dure cinq minutes ou le temps d’un week-end, c’est le système de régulation de l’énergie (SPS) qui décide du mode de veille du robot, entre stand-by pour une courte pause ou arrêt total, explique un commercial de la société allemande. Le redémarrage se fait au moment adéquat et est également géré par le système SPS".

Le robot qui compte sauver l’emploi

Les robots vont remplacer les humains dans les usines. Ce poncif a la dent dure. L’arrivée de Baxter, le robot qui apprend de la société Rethink Robotics, tend à prouver le contraire.
Les robots vont-ils tuer ou créer de l’emploi ? C’est l’éternel débat entre les économistes, les industriels et les sociologues. En aidant l’industrie à produire plus efficacement, vont-ils créer de nouveaux emplois mieux rémunérés ou simplement mettre des travailleurs à la rue ?
"Nous avons atteint un point de basculement en robotique", a déclaré Daniela Rus, directeur du laboratoire d’informatique et d'Intelligence artificielle du MIT. "Vous pouvez maintenant faire tourner une usine pendant que vous dormez" a-t-elle ajouté.
De nombreuses entreprises voient dans l’automatisation la clé pour réduire les coûts et rester compétitifs. Selon Dan Kara, analyste de l’industrie, les ventes de robots industriels ont augmenté de 38 % entre 2010 et 2012 et vont battre des records cette année,
UN ROBOT DE FABRICATION COLLABORATIF
C’est lors de la conférence TED, qui s’est tenue la semaine dernière à Long Beach en Californie, que Rodney Brooks est venu présenter son robot Baxter et son rôle dans la société. Cet ancien directeur de laboratoire du MIT a créé la société Rethink Robotics et commerciale déjà son robot qu’il décrit comme un robot de fabrication collaboratif.

L'usine du futur du plan allemand "Industrie 4.0" s’esquisse au CeBIT

Allier production classique et Internet, c’est la vision du grand projet stratégique allemand "Industrie 4.0". Produits pilotes et conférences permettent de faire le point à l’occasion du salon CeBIT.
C’est ce que les Allemands appellent la quatrième révolution industrielle. Lancé début 2012, le plan gouvernemental "Industrie 4.0" vise à rendre les usines intelligentes grâce à Internet, permettant par exemple de faire communiquer les chaînes de production et les objets entre eux ou de simuler des process, des flux logistiques ou encore des crashs tests de véhicules.
Si les premières applications ne sont pas attendues avant 2015, un tour dans les allées du CeBIT, le salon des technologies de l’information et de la bureautique qui se déroule du 5 au 9 mars à Hanovre (Allemagne) permet toutefois de se faire une première idée de ce que sera cette usine du futur.

48 millions de robinets par an !

Supor Sanitary Ware vient d’achever la première partie du plan de développement de son usine en atteignant les 10 millions de robinets en acier inoxydable fabriqués en 2012. Il entame des agrandissements qui devraient à terme lui permettre d’atteindre une capacité annuelle de 48 millions d’unités.
Supor Sanitary Ware vient d’annoncer que son usine de production de robinets en acier inoxydable, mise en service en 2012, et aujourd'hui la plus grande usine au monde du secteur au terme d'une première phase d'investissement, a atteint une capacité de production annuelle de 10 millions d'unités.
Supor est entré dans le secteur des équipements sanitaires en acier inoxydable en 2008, fort de plus de 20 ans d'expérience dans le domaine des ustensiles de cuisine en acier inoxydable. Son centre de production de robinets de 86 hectares situé à Shenyang en Chine est le plus grand de son genre. En 2012, 260 millions de dollars avaient déjà été investis dans l'usine sur les 500 millions de dollars prévus à terme.
100 millions de dollars pour la recherche

Grover au Groënland, Robobees, prédiction du futur

Qu'il s'agisse de les modifier génétiquement ou tout bonnement de les reconstruire pièce par pièces, les insectes ont la côte chez les scientifiques. C'est que leur impact est d'importance, pas de pollinisation des plantes sans les abeilles, tellement moins d'épidémies sans les moustiques... Roboticiens comme généticiens s'emparent donc de la question. 
A partir du passé, prédire le futur des épidémies
La « psychohistoire » d’Isaac Asimov est-elle destinée à devenir un jour réalité ? Dans son Cycle de Fondation, l’auteur de science-fiction imagine une science reposant sur les mathématiques pour prédire le futur. Des chercheurs de Microsoft et de l’Institut Israëlien de Technologie Technion mettent au point un logiciel pour prédire les catastrophes futures grâce à une analyse du présent et des événements passés, détaille Numerama.com. Pour cela, ils ont « nourri » le logiciel de 22 années d’archives du New York Times et d’autres sources web. Le système toutes ces données entre elles. Rétrospectivement, le logiciel aurait ainsi pu prévenir le risque d’une épidémie de choléra en Angola en 2007. Celle-ci avait en effet été précédée d’une sécheresse en 2006, une corrélation que le système avait détecté suite à des cas similaires précédents. Rien d’extraordinaire donc, d’autres recherches vont dans ce sens, comme l’analyse de la progression de la grippe sur Twitter. Le logiciel est toutefois le premier à avaler autant d’archives et va plus loin que les précédents. Il pourrait d’abord servir aux associations humanitaires. On lui souhaite un bel avenir !

Impression 3D : aux armes !

Un étudiant américain a développé un pistolet entièrment fabricable par impression 3D et il veut mettre les fichiers en ligne sur le Web. Tout lr monde pourra alors devenir fabricant d'armes. Une initiative qui ne fait pas l'unanimité au pays des cowboys.
Tous producteurs d’armes ! C’est ce que propose Cody Wilson, un étudiant de la faculté de droit du Texas et fondateur de la société Defense Distributed qui utilise la technologie d’impression 3D de Stratasys pour fabriquer un pistolet conçu pour l’occasion et qu’il a baptisé “the Liberator”.
L'arme conçue pour tirer des munitions d'armes de poing standard, est composée de 16 pièces, facilement imprimables avec de l’ABS. Elle n’utilise le métal que pour le percuteur qui est constitué … d’un clou. Son concepteur a toutefois prévu d’inclure un bloc d’acier de quelques dizaines de grammes dans la poignée, afin de rendre l’arme détectable par les détecteurs de métaux, pour se conformer à la Loi sur les armes à feu indétectables.

Production de pièces composites pour l’automobile de série

Le Cetim nous fait visiter en images sa ligne de production pilote installée sur le Technocampus de Nantes, qui a servi à la production d’un triangle de suspension.
La ligne de production haute cadence pour pièces composites installée dans les locaux du Centre Technique des Industries Mécaniques (Cetim) sur le Technocampus EMC2 de Nantes (44) vient d’être officiellement inaugurée.
Elle a d’ores et déjà permis la production du premier triangle de suspension pour l’automobile grand public entièrement en composite.
Les grands enjeux de cette production de telles pièces pour l’automobile (allègement des véhicules, diminution des émissions de CO2) et les défis qu’il reste à relever pour répondre aux besoins de production en série de l’industrie automobile.
Source : http://www.industrie-techno.com/production-robotique

Nanotubes de carbone : le marché sera plus restreint, selon Arkema

Bayer, qui comptait depuis quelques années parmi les poids lourds de la fabrication de nanotubes de carbone, a décidé d'arrêter cette activité pour se recentrer sur ses produits phares. Pour Arkema, concurrent encore engagé dans la course à l'industrialisation, le marché pour les nanotubes de carbone pourrait effectivement s'avérer moins important que prévu. Explications avec Richard Audry, directeur du département matériaux avancés d'Arkema.
L’abandon de Bayer est-il une surprise pour vous ?
Oui, car Bayer avait mis beaucoup d’efforts sur la technologie. Mais cela correspond à une réalité industrielle : d’autres acteurs abandonnent, comme Showa Denko, qui est revenu sur son annonce de construction d’une usine de nanotubes de carbone (NTC). Le marché est plus long que prévu à démarrer, et il sera sans doute aussi plus restreint.
Doit-on s'attendre à moins d'applications que prévu pour les NTC ?
Certaines applications auxquelles on croyait beaucoup se révèlent finalement décevantes. C’est le cas par exemple des matériaux composites de plus en plus utilisés dans l’aéronautique : on pensait pouvoir les protéger de la foudre en y ajoutant des NTC, qui pourraient conduire l’électricité à travers le matériau. En fait, les propriétés conductrices du matériau modifié ne s’avèrent pas suffisantes. Idem pour le renforcement mécanique des résines époxy, pour lesquelles d’autres additifs moins onéreux sont disponibles.

Shapeways, le Amazon de l’impression 3D ?

Oui, la technologie peut encore être à l'origine de business florissants. Pour preuve, la société Shapeways, il y a encore cinq ans simple start-up hébergée par Philips, prend déjà une envergure industrielle avec la construction en cours de sa première usine à New-York, et un parc de cinquante machines. A Eindhoven, sa ville d’origine aux Pays-Bas, celui qui fait le pari de mettre l’impression 3D à la portée du grand public envisage aussi d’augmenter sa capacité de production.
C’est dans une cour ensoleillée située entre les bureaux et l’atelier de fabrication que nous reçoit, sourire aux lèvres, Bart Veldhuizen, community manager au sein de l’antenne hollandaise de Shapeways. La levée de 30 millions de dollars, réalisée par la société quelques jours avant ma visite, n’est sans doute pas étrangère à la bonne humeur qui règne dans les locaux.
Entouré de jouets et autres créations d'employés, Bart Veldhuizen nous fait un rapide historique de la spin-off prospère de Philips. Et embraye sur son activité principale, à savoir la fabrication sur commande d’objets imprimés en 3D.

Faciliter l’accès des plasturgistes à l'innovation

Pour Jean Martin, délégué général de la Fédération de la plasturgie, les entreprises du secteur n'ont pas toujours un accès suffisant à la technologie et à l'innovation. Une situation qui s'explique notamment par la nature du tissu industriel en France, plutôt constitué de PME, malgré un savoir-faire reconnu internationalement. Les nombreuses opportunités qui attendent la plasturgie française invitent à repenser l'organisation.
« Avec 36 salariés en moyenne, l’entreprise de plasturgie type en France est une PME qui n’a pas forcément l’envergure pour mener seule sa propre politique de R&D. Il existe plusieurs structures en France capables de déléguer pour elle la recherche et l’innovation : les acteurs historiques, le PEP (Pôle européen de plasturgie) et l’Ispa à Alençon, mais aussi le Pôle de plasturgie de l’Est (PPE), le Cemcat, certaines antennes du Cetim…
Si certaines travaillent de façon interconnectée, toutes n’ont pas le même niveau de visibilité et l’accès n’est pas forcément aisé pour une petite ou moyenne entreprise, à moins d’y avoir le bon contact.

Drone écureuil, cafard cyborg, Galaxy S4 torturé

L'imagination humaine n'a pas de limites. Elle conduit à inventer le moyen de dompter les blattes, faire "amurir" les drones ou soumettre les smartphones aux pires sévices. Entre imagination et fantasme, la limite est parfois ténue.  A l'instar de ces scientifiques qui souhaitent être cryogénisés une fois morts pour mieux ressusciter dans un avenir incertain... mais sûrement palpitant !
Un drone qui s’accroche aux murs
L’imagination des bricoleurs ne manque pas pour concevoir des drones aux caractéristiques toujours plus étonnantes comme un drone contrôlé par la pensée, ou encore un drone qui roule ET vole. Mais ils avaient du moins jusqu’ici la particularité de décoller du sol, verticalement. Le drone que des chercheurs de l’université de Stanford ont créé a la particularité de se poser sur les murs ! Grâce à un système de griffes, le drone peut s’agripper aux aspérités de la paroi, explique Futura-Sciences. Une fois, sur la paroi, il peut y rester, moteur coupé. Les chercheurs se sont inspirés des écureuils volants pour concevoir l’appareil, qui inaugure une nouvelle façon pour un objet volant humain de se poser : « l’amurissage ».

Un concert d'instruments imprimés au 3D Printshow parisien

Après une première édition à Londres en 2012, le 3D Printshow s'installe à Paris les 15 et 16 novembre prochains, au carrousel du Louvre. Le salon présentera les débouchés les plus emblématiques et médiatiques de l'impression 3D, dans l'architecture, la mode, les arts visuels et la musique.
Né à Londres, le 3D Printshow débarque à Paris en novembre prochain. Parmi les sept espaces que comptera le 3D Printshow parisien, citons notamment l'espace Architecture, qui réunira des exposants spécialisés dans la construction imprimée en 3D, l'espace Cinéma animé par la société Legacy Effects, qui crée des maquettes par prototypage rapide pour des films à gros budget (Iron Man 3, Thor, Avatar...), ou encore la boutique 3D Printshop, dans laquelle il sera possible d'acheter objets personnalisés et machines d'impression 3D grand public.

Loon : Google lance des ballons, robots biomimétiques, toilettes RFID

Utiles, communicantes, ludiques, sécurisantes, mais aussi invasives, inquiétantes, explosives... autant de qualificatifs qui pourraient s'appliquer aux nouveautés qui ont fait le buzz cette semaine. Peut-être faudra-t-il attendre la mise en application du système de mIcrosoft de transit de données par le corps humain pour que tout le monde ait les technologies ... dans la peau !
Pas évident de qualifier précisément nos sentiments face à la place de plus en plus grande que prennent l'électronique, la robotique ou encore l'informatique dans nos quotidiens. Une étude menée par l'agence Grenade & Sparks montre que 26 % des Français s'avouent dépassés par les nouvelles technologies. Parmi elles, 57 % ont plus de 50 ans, ce qui souligne la fracture entre les "digital natives" et les "digital immigrants"...une dichotomie bien illustrée par les actus technos qui ont fait le buzz cette semaine.
Loon : Google veut démocratiser Internet avec des ballons
Google vient de tester en Nouvelle-Zélande un ballon stratosphérique pour faciliter la connexion à Internet dans les zones reculées, annonce le site du Monde informatique. Un ballon de 15 mètres de diamètre permettrait de transmettre les informations à un débit équivalent à la 3G sur près de 40 km autour de lui.

Des drones-abeilles cartographient le Salon du Bourget

La société Sensefly, rachetée en 2012 par le français Parrot, a été autorisée à survoler le site du Bourget avec ses mini-drones Ebee. Le site a ainsi pu être cartographié en 2D et 3D, en fusionnant 577 photographies prises par deux appareils de 16 mégapixels. Revivez en vidéo l’envol des drones de Sensefly avant le démarrage du salon parisien.
Le Neuron, le Boeing 747 ou le Sukhoi 35 vus du ciel. Le Ebee, nouveau drone professionnel de Parrot depuis le rachat de la société Sensefly, offre un point de vue original du Salon du Bourget pour sa cinquantième édition :
Depuis quelques mois, et l’obtention d’une autorisation spéciale de la Direction générale de l’aviation civile (scénario dit « S2 plus »), les drones Ebee sont autorisés à opérer en France. « Ils peuvent servir aux géomètres, aux agriculteurs ou aux exploitants de carrière pour faire du calcul volumétrique. Nous avons aussi travaillé avec des ONG qui voulaient étudier le repeuplement suite à un séisme », a détaillé Alexis Roze, responsable ventes Sensfly, sur le stand de Parrot.