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Stratasys rachète le fabricant d’imprimantes 3D économiques Makerbot

Stratasys rachète le fabricant d’imprimantes 3D économiques Makerbot
Il y a encore un an, la Replicator de Makerbot était une imprimante 3D open source. Aujourd’hui, elle appartient au numéro un mondial de la fabrication additive. Stratasys a racheté Makerbot pour 400 millions de dollars.
En rachetant Makerbot, Stratasys sonne la fin d’une époque. Le numéro un mondial des systèmes de fabrication additive met la main sur le champion de la petite imprimante 3D économique. Créé en 2009, Makerbot avait lancé la Replicator en kit et en mode open source. Les plans de l’imprimante étaient gratuits et modifiables, et la communauté pouvait proposer des améliorations. La Replicator première du nom est rapidement devenue l’imprimante 3D des Fab Labs.
L’arrivée de la Replicator 2, vendue par un réseau commercial et à la propriété intellectuelle protégée, avait déjà fait grincer les dents des premiers utilisateurs. Ce revirement survenait après l’arrivée de prestigieux investisseurs au sein de la société créée par un ancien hacker.

Le plasma atmosphérique facilite l’impression sur les plastiques chez Bosch

Pour diminuer le coût de ses mixeurs BSH Bosch est passé de l’ABS au polypropylène pour les carters, mais il s’est trouvé confronté à un problème d’impression. Les méthodes traditionnelles de prétraitement posant des problèmes d’esthétique, les ingénieurs ont finalement opté pour une projection de plasma à la pression atmosphérique.
Afin de pouvoir augmenter la capacité d’une nouvelle ligne de production de mixeurs tout en réduisant ses coûts de production, BSH Bosch Electroménager a décidé de remplacer l’ABS utilisé pour leurs carters par du polypropylène (PP), tout aussi résistant mais moins onéreux. Mais il s’est heurté à un problème de fabrication majeur la mauvaise imprimabilité du PP.
En effet, pour réaliser une impression par tampographie offrant une bonne tenue, stable sur le long terme, sur les carters, il fallait impérativement assurer un nettoyage approfondi et une activation élevée des surfaces plastiques.
C’est le site industriel de BSH Bosch situé dans la ville Slovaque de Nazarje, en charge du développement, de la production, de la qualité et de la commercialisation à l’échelle mondiale de ses petits produits électroménagers, qui a été chargé de trouver une solution.

Impression 3D : aux armes !

Un étudiant américain a développé un pistolet entièrment fabricable par impression 3D et il veut mettre les fichiers en ligne sur le Web. Tout lr monde pourra alors devenir fabricant d'armes. Une initiative qui ne fait pas l'unanimité au pays des cowboys.
Tous producteurs d’armes ! C’est ce que propose Cody Wilson, un étudiant de la faculté de droit du Texas et fondateur de la société Defense Distributed qui utilise la technologie d’impression 3D de Stratasys pour fabriquer un pistolet conçu pour l’occasion et qu’il a baptisé “the Liberator”.
L'arme conçue pour tirer des munitions d'armes de poing standard, est composée de 16 pièces, facilement imprimables avec de l’ABS. Elle n’utilise le métal que pour le percuteur qui est constitué … d’un clou. Son concepteur a toutefois prévu d’inclure un bloc d’acier de quelques dizaines de grammes dans la poignée, afin de rendre l’arme détectable par les détecteurs de métaux, pour se conformer à la Loi sur les armes à feu indétectables.

Shapeways, le Amazon de l’impression 3D ?

Oui, la technologie peut encore être à l'origine de business florissants. Pour preuve, la société Shapeways, il y a encore cinq ans simple start-up hébergée par Philips, prend déjà une envergure industrielle avec la construction en cours de sa première usine à New-York, et un parc de cinquante machines. A Eindhoven, sa ville d’origine aux Pays-Bas, celui qui fait le pari de mettre l’impression 3D à la portée du grand public envisage aussi d’augmenter sa capacité de production.
C’est dans une cour ensoleillée située entre les bureaux et l’atelier de fabrication que nous reçoit, sourire aux lèvres, Bart Veldhuizen, community manager au sein de l’antenne hollandaise de Shapeways. La levée de 30 millions de dollars, réalisée par la société quelques jours avant ma visite, n’est sans doute pas étrangère à la bonne humeur qui règne dans les locaux.
Entouré de jouets et autres créations d'employés, Bart Veldhuizen nous fait un rapide historique de la spin-off prospère de Philips. Et embraye sur son activité principale, à savoir la fabrication sur commande d’objets imprimés en 3D.

Un concert d'instruments imprimés au 3D Printshow parisien

Après une première édition à Londres en 2012, le 3D Printshow s'installe à Paris les 15 et 16 novembre prochains, au carrousel du Louvre. Le salon présentera les débouchés les plus emblématiques et médiatiques de l'impression 3D, dans l'architecture, la mode, les arts visuels et la musique.
Né à Londres, le 3D Printshow débarque à Paris en novembre prochain. Parmi les sept espaces que comptera le 3D Printshow parisien, citons notamment l'espace Architecture, qui réunira des exposants spécialisés dans la construction imprimée en 3D, l'espace Cinéma animé par la société Legacy Effects, qui crée des maquettes par prototypage rapide pour des films à gros budget (Iron Man 3, Thor, Avatar...), ou encore la boutique 3D Printshop, dans laquelle il sera possible d'acheter objets personnalisés et machines d'impression 3D grand public.