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General Electric mise gros sur le big data

General Electric mise gros sur le big data
Le conglomérat américain vient d’annoncer le lancement de Predictivity, une plate-forme analytique pour le big data. Une étape majeure dans le virage de General Electric vers l’internet industriel.
General Electric lance sa propre plate-forme analytique pour le big data. Predictivity cible l’internet industriel, au cœur de la stratégie du conglomérat américain depuis un peu plus de deux ans. Pour GE, les machines industrielles, moteurs d’avions, éoliennes, turbines à vapeur, etc. seront de plus en plus truffées de capteurs envoyant leurs données en temps réel. Pouvoir réagir à ces données et prédire le comportement des machines à partir de leur historique recèle un potentiel gigantesque, tant pour l’amélioration et l’enrichissement des performances des machines, l’optimisation de leur production ou la création de nouveaux services à offrir par GE.

Les énergies renouvelables devraient devenir la deuxième source d'électricité en 2016

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) prévoit qu'en 2016, les énergies renouvelables doubleront le gaz pour devenir la deuxième source d'électricité dans le monde, derrière le charbon.
Les énergies renouvelables occupent une place de plus en plus importante dans le mix énergétique mondial. D'après une étude publiée mercredi 25 juin par l'Agence internationale de l'énergie (AIE), cette source d'énergie devrait ainsi doubler le gaz pour devenir la deuxième source d'électricité dans le monde en 2016, derrière le charbon.
LE DOUBLE DE LA PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ ISSUE DU NUCLÉAIRE
"La production d'électricité de l'hydraulique, du vent, du solaire et d'autres sources renouvelables dépassera celle du gaz et sera le double de celle du nucléaire dans le monde en 2016", indique l'AIE dans son rapport. Ce secteur devrait en effet progresser au total de 40% au cours des cinq ans à venir.

Après le nucléaire, la France nouveau leader des énergies marines ?

A l’heure où le nucléaire est de plus en plus contesté dans le mix énergétique français, où la part des énergies renouvelables est appelée à augmenter, la quête de nouvelles sources d’énergie est constante. La mer, longtemps négligée, est de plus en plus pressentie comme le nouveau gisement d’énergie de la France.
Derrière l’expression « énergie marines renouvelables » (EMR) se cachent de nombreuses manières d’exploiter le potentiel de l’océan. L’éolien offshore bien sûr, en phase de déploiement le long de la Manche, mais aussi les centrales marémotrices comme celles de la Rance qui utilise le flux et le reflux de la marée, ou encore l’hydrolien, l’exploitation des courants marins, dont les premiers prototypes sont en train d’être testés au large des côtes bretonnes. Il existe d’autres formes d’énergies marines plus originales, comme l’énergie osmotique, reposant sur le différentiel de salinité entre eaux douce et salée, ou la force houlomotrice, l’énergie générée par les vagues.
Face à cette profusion de manière d’utiliser la mer, la France dispose de sérieux atouts. Elle a en effet le deuxième espace maritime mondial (11 millions de km2), derrière les Etats-Unis. A l’échelle européenne, notre pays détient le second gisement hydrolien, après la Grande Bretagne.

L’énergie de demain : mise au point

Après les premiers retours consécutifs à la publication de l'article L'énergie de demain, il semble utile de préciser un peu plus le but recherché par cette publication, et les principes exposés.
Les personnes qui adhèrent à cette initiative et souhaiteraient aller plus loin, peuvent certainement me contacter par l'intermédiaire du site et de ses modérateurs. Ils sont les bienvenus.
J’ai beaucoup hésité à publier mon article précédent sur Agoravox, car je n’étais pas sûr que ce soit l’endroit adapté au but que j’essaie d’atteindre : créer un courant de pensée qui puisse mieux faire communiquer la communauté scientifique et l’exploration technologique un peu empirique. J’utilise plus volontiers un contact direct auprès de ces deux mondes. Mais Agoravox peut conduire à diffuser ce courant de pensée, et créer un buzz qui sera repris par les professionnels. La contre partie, c’est qu’en avançant à découvert dans le « no man’s land entre ces deux mondes, on essuie forcément le tir des veilleurs qui appliquent la consigne : tirer sur tout ce qui semble ennemi ! C’est vieux comme la guerre ! Mais ce n’est pas grave, juste un peu ennuyeux d’avoir à ramper pour éviter les balles !